La taverne du forum

Vince chargea, les canons à eau furent annihilés par un enchaînement de missiles mortels enchaînés, la chemin de la cave enfin ouvert (comme nos belles japonaises), Vince, tel un taureau en furie, chargea et, ni une ni deux, ruina les quelques réserves d’alcool en moins d’un dixième de seconde.

Le pauvre barman, fut horrifié de la situation, et, tenta malgré tout une attaque à l’eau, Vince, sortit alors une seringue remplie d’une onde fraîche et pure et, devant les yeux horrifiés de l’assistance, se l’injecta en son sang. Les personne ici présentes, suite à ceci, donnèrent la médaille du courage à Vince quand même considéré comme un suicidaire ou un sadomaso auprès de tous ceux qui, même en leur esprit, ne parvenaient pas imaginer ce qu’était de l’eau sous peine de faire une crise cardiaque dans la minute.

Sur ce, notre barman voulut fermer le bar, le pauvre, après l’exploit plus que légendaire de Vince, une tournée et surtout une tournante générale fut décrété. Le barman dut s’incliner sous peine de finir dans le lit d’un modeleur, le tout déguisé en chien.

Le lendemain, le barman, légèrement découragé, ouvrit le bar après avoir fait le ménage. Dim entra et, se fut avec sa générosité légendairement inconnue de tous qu’il aida l’ami barman fort surprit et, surtout, se demandant quelle autre connerie allait lui tomber dessus. Dim, offusqué qu’une personne puis-ce ainsi croire, que lui, petit ange parmi les saints, ainsi, jouer avec un être humain (heu, je crois que là ça sonne faut quand même, un serpent qui fait ding dong est un serpent à sonnette *saute par la fenêtre du huitième*).

Mais, hélas pour Dim, ou plutôt pour le barman, son bon vieux côté sadique reprit vite le dessus et, c’est avec une excitation croissante que l’ami Dim versa une dose de laxatif à retardement (qui s’actionne à la vue de Vince) dans le verre du barman, qui, peu de temps après, assoiffé, le but d’une traite, le pauvre.

Quand Vince, après, dans la matinée, entra, la barman était déjà en armure (il avait placé des détecteurs de Vince un peu partout), et, se fut à ce moment précis que le drame se déclencha. Et notre barman, c’est bien le cas de le dire, se lâcha avec grâce et se fut une bonne odeur de rose pourrie depuis un millénaire qui s’éleva en la bâtisse…

Gab arriva à ce moment dans le bar portant un masque à gaz pour ne pas être incommodé par l'odeur de lilas du printemps fleurissant dans une fosse à purin débordante. Il voulu savoir pourquoi ça coinçait comme ça.
Vince et Dim lui confimèrent que le barman avait confondu son armure avec les chiottes.
Gab annonça au barman qu'il devrait payer pour lé dérangement, spécialement pour le commando d'élite tuant l'invasion de mouche attirées par l'odeur et celui parfumant les rues afin de masquer l'odeur immonde.
Gab conseilla à Jean d'aller consulter à l'hôpital Mickaêl Reese car il avait le cul pourri.

Le barman honteux et ne comprenant pas, alla se débarraser de son armure pour la laver au Karcher (prête par Nicolas S) avant de prendre un bain. Vince et Dim profitèrent de l'absence momentanée du barman pour mettre Gab au courant pour le laxatif. Gab trouva l'idée drôle et rigola en se roulant par terre.
Quand le barman fut, pas de bierre mais de retour dans le bar, Gab lui tandis un verre d'eau en lui annonçant:
"Jean, ce médicament va soigner ta méga chiasse et tu n'auras plus besoin de faire du boucan dans les waters."
Jean méfiant ne but pas tout de suite. Mais comme Gab ne lui avait encore rien fait, il décida de risquer le tout pour le tout tellement ses tripes étaient en marmelade. Instantannément il se sentit mieux, se félicitant d'avoir écouter Gab.

Maintenant que sa chiasse allait mieux, il senti l'odeur fétique qu'il avait lâché et failli se sentir mal. Gab lui donna un masque à gaz. le barman reconnaissant l'ajusta à sa figure et tout alla mieux.

Mais Gab, un rien cynique, informa par SMS Vince et Dim que le médicament anti chiasse avait un effet secondaire légèrement embêtant: il donnait envie de gerber encore plus que les ôîtes à gerbe des frères Weasley. Et comme Gab le précisa dans le message, gerber dans un masque à gaz...

Soudainement, jean sentit tous les repas pris depuis sa naissance et même ceux avalés par ses ancêtres remonter à toute vitesse, il n’eut, pas le temps d’enlever le masque à gaz et, il gerba ainsi, le vomi, qui, n’avait aucun endroit ou s’évacuer retourna avec classe en la bouche du pauvre homme sans cesse en train d’en rajouter, il y avait des morceaux, il y avait même du gâteau… bref, tout en vomissant, il avalait, cercle sans fin, le sadisme de Gab fut, dès lors par la sympathique assistance considérée comme l’œuvre la plus magnifique de l’univers.

Jean sortit dans la rue et réussit enfin à enlever ce maudit masque alors que même ses poumons étaient maintenant envahit par le vomit nauséabond. Tel un geyser, il cracha à plusieurs mètres ce vomit et, c’est après plus d’une heure de vidage intensif qu’il se rendit compte que c’était un jotuid passant par là par hasard (enfin, presque), qui, s’était tout prit en pleine poire.

Le barman passa le mur du son en courant, vite rattrapé par le jotuid qui, le corrigea quelque peu avant de lui faire lécher tout ce qui, était sortit de sa bouche…

Le barman en eu pour une semaine d'hôpital pour se remettre de ces évènement et surtout de la légère correction du jotuids qui pourtant s'était retenu le plus possible, sachant à quel point le barman nous était cher.

Après son séjour hospitalier, le barman de retour pu réouvrir le bar. Mais avant Jean avait eu la sagesse de faire quelques aménagements:

les canons à eau, désormais inutile, étaient remplacés par des canons transformateurs, un bouclier paratronique protégeait la cave, les 10 bunkers et le réseau de tranchées crées pour assurer la protection du barman. Jean lui même, ne se déplacait plus qu'avec son bouclier paratronique personnel. De plus le service en salle était désormais assurer par des droides tandis que jean se contentais de servir au comptoir, bien protégé.

Mais, Gab, Vince et Dim eurent l'idée de faire une petite fête au bar pour célébrer le retour de leur barman préféré (enfin, le seul qui ai réussi à rester en vie). Gab avait d'ailleurs de curieuses pensées: "il est coriace ce barman, je me demande si il ne prend pas du plaisir dans la douleur, il doit être sado maso!"

Bref, la fête battait son plein, tous les clients avaient déjà ruiné le bar à
de nombreuses reprises, et le barman était épuisé de servir tous ces verres, quand survint un évènement pour le mois étrange.

Une créature habillée d'une tenue en cuir avec des clous et cagoulée se rua sur le barman qui se retrouva menotté à poil au radiateur. satisfaite, celle ci commenca à fouetter le barman avec force et application avec 2 fouet supersonique cloutés. les claquement du fouet se succédait au cri de douleurs du barman. la créature, la voie déformée par un appareil électronique hurla alos: "tu aimes ça mon salop? t'en veux encore hein? et vlan prends ça et ça! hahahahahahahah (rire sadique)
C'est alors qu'un autre rire sadique à faire glacer le sabg du diable en personne se fit entendre de la chaufferie. En effet Dim venait de mettre en route la chaudière sur la position max et envoya toute la chaleur ainsi crée sur, comme par hasard le radiateur ou était menotté le barman. Vince émis à son tour un rire sadique de derrière les fagots. Il venait de déclenché au dessus du même radiateur, le système anti incndie qui envoya de l'eau glacée (1°C).
Cette scène dura 3h00 environ jusqu'à ce que Gab enlève sa cagoule, fatigué de taper comme un sourd sur Jean et se serve une téquila bien fraiche. Dim remonta alors de la chaufferie (la citerne de fuel était vide de toute façon) et Vince redescendit (il n'y avait plus d'eau) du plafond pour boire également un coup.
Gab dit alos: "pour fêter ça, allons au bordel, il y a de nouvelles putes venat de Naboo, je vous dit que ça!"
Excités à la perspective du plaisir à venir, les 2 autres compères acceptèrent et allèrent baiser, laissant là le barman, dont ils avaient complètement oubliés l'existence.

D’un côté, le pauvre barman était brûlé, de l’autre, il était gelé. Une fine couche de glace se formait même sur son dos. Laissé en cet été pitoyable, et ce, pendant une semaine entière, Gab finit par se rendre que Jean n’était pas au mieux de sa forme (et c’est pas peut dire). Il fut envoyé à l’hôpital ou il resta un mois (sans toucher son salaire bien sur, vu qu’il ne travaillait pas).

Il voulut porter plainte contre Gab, Dim et Vince mais, on lui fit comprendre à son plus grand désespoir que ces trois sots se partageaient et de ce fait géraient le monde. Attristé de cette néfaste nouvelle, Jean, par un nombre incalculable de fois, tenta de mettre fin à son existence malheureuse.

Une fois, il se jeta du haut du huitième étage, pas de chance, les pompiers préparaient un exercice et, il tomba sur un petit quelque chose qui amortit sa chute. Il voulut s’exploser la tête contre les murs mais, il se rendit compte avec horreur, effrois plutôt, qu’ils étaient en mousse. Il essaya de se noyer dans la cuvette des toilettes, l’eau n’arriva jamais à la hauteur voulue et lui, comme un imbécile, se trouva coincé. Il fallut deux jours (car on avait pas envie de se presser, on est pas de citrons que diable !) pour le libérer. Il essaya même de s’ouvrir les veines mais, le couteau ne coupait pas.

Bref, il fut décidé par les médecins qu’il devait suivre une thérapie (très chère entre nous, j’aime être sadique) ou, il reprit goût à la vie. Mais, certaines phrases de Gab et Dim lui revinrent à la mémoire, celles qui parlaient des cactus, il se dit, en son fort intérieur, qu’il devrait, dans l’avenir, se méfier des ces plantes piquante et surtout, son arrière train, connaissant le sadisme sans limite de ces fols personnages, il pensait bien qu’il devrait un jour affronter ce qui servait pour le moment de simple décoration.

Jean, fut triste le jour de reprendre son travail, surtout, qu’il débarqua en une partouze de gai sadomasochiste (Gab lui avait loué le bar pour une somme folle) et, notre pauvre barman, fut attaqué par l’arrière c’est cas de le dire. Explosé de tous côtés, et surtout de l’intérieur, il fut laissé pour mort.

Dim et Gab entrèrent quand les hommes partirent, et, voyant jean explosé sur le sol, Dim le déguisa en chien, quand Gab surprit lui en demanda la raison première, Dim lui rétorqua que bientôt de nombreux modeleurs allaient, débarquer en la place. Gab en rigola d’avance et, reconnue le génie inventif et distractif de son petit frère.

Et c'est à ce moment-là que le plus grand des modeleurs, l'expert que la cassure faciale entra dans le bar, j'ai nommé Brice de Nice.

Comme il trouvait que le bar était trop bien rangé et Jean en pleine forme (ben oui, même avec le derrière défoncé et aplati, il restait en un seul et unique morceau ce qui était proprement inacceptable), il se mit à casser à tout bout de champ (aidé par Dim et Gab car casser à plusieurs ça défoule).

Il commença à boire, histoire d'avoir une vision encore plus cassée de la réalité (il pouvait pas casser la réalité davantage, c'était pas raisonnable) et complètement rond (un rond cassé, évidemment), il se mit à se casser lui-même (on est jamais aussi bien cassé que par soi-même, après tout) toujours aidé par Gab et Dim (qui le cassèrent avant de se casser, morts de rire).

Puis il décida de se finir dans le bordel afin de se casser la pine (le châtiment suprême étant d'avoir mal à la pine, les amateurs d'Eric et Ramzy confirmeront).

Quel retour !!! CASSE !!!

Et brice cassé s'écroula dans le bar, compètement destroy. Le barman quant à lui, détruit par les gays sadomasochistes et les modeleurs, en prit pour 2 mois d'hospitalisation avec en prime un suivi psychologique, car notre homme devenait névrosé et psychopathe avec le temps.
Les 2 mois passèrent et Jean revint une nouvelle fois dans le bar, reprendre son travail.
Il avait beaucoup d'appréhensions et complèta ses aménagements, entourant le comptoir et lui même de déformations spatiaux temporelles en plus des boucliers paratroniques, afin d'être mieux protégé de la folie de certains de ces clients. Jean fit l'acquisition en outre de nouvelles armes pour protéger le bar et la cave, dont 3 batteries de canon transformateur résonnateur universel, à déformation et effondrement de la trâme spatiaux temporelle. Jean cette flois était sur d'avoir la protection ultime et de ne plus rien craindre.

Ce soir là, c'est la réouverture du bar. Comme d'habitude, Gab, Vince et Dim, rejoint par Brice, font la fête, ruine le bar, vide la cave, mais curieusement, le barman n'eu rien du tout. pas de coup, pas d'empoisonnement, ni de torture rien. Jean, quand même un peu étonné, pensa que ses nouveaux dispositifs faisaient peur aux fous qui l'avaient recruté.

Mais il n'en était rien. Gab, sadique au dernier degré avait prévu un plan des plus diabolique. A la fin de la soirée, il s'aproche du barman et innocemment lui demande si il connaissait les jotuids.
la barman, blémi et s'assoit sur son tabouret en tremblant. Il avait bien sur entendu parlé de ces animaux dangereux que rien n'arrête. mais pourquoi Gab lui en parlait? la peur se voyait sur son visage et la sueur commença à ruisseler. malgré tout ilo répondit qu'il n'avait rien contre ces bestioles.
"OUf, répondit Gab, car Dim et moi sont amis avec cs charmantes créatures; Et demain, c'est l'anniversaire du chef des jotuids légendaires, et je lui ai loué le bar pour qu'avec ses 100 meilleurs amis jotuids, il fête cet évènement. Comme tu n'a rien contre les jotuids tu pourra donc les servir et t'occuper de l'organisation."
gab se retourna et sorti du bar, son beau visage illuminé d'un sourire encore plus sadique que ben laden le 11 septembre, laissant le barman à demi mort ddd peur, appeler l'hôpital pour réserver sa chambre.

pendant que les autres s'amusent dans la taverne ,vince partit dans les sous sols de la taverne....

Vince fouillant dans les sous sols du bar, fit une étrange découverte: pas de l'alcool comme il l'espérait, mais les ruines du musée du sadomasochiste, disparu il y a 500 ans.
Les ruines bien conservées, regeorgaient de trésors divers et variées. Il faut dire qu'il y a 500 ans, le sadomasochisme avait atteind sur ce monde de déparvé, une perfection insoupconnée même aujourd'hui, et était une pratique courante dès la maternelle. En effet les gens étaient initiés au plus tôt et pratiquait cet art de la douleur durant toute leur vie avec une passion qui déconcertait le Gritche lui même!
Gab fit la découverte d'un quadruple fouet électrifié et clouté, fixé sur une machine à écartelement également muni d'un gode électrique d'une taille impréssionnante en parfait état de marche.
Gab, au moyen d'un bouclier de dissimulation remonta l'objet dans le bar et l'installa, sa tête remplie d'idée sadique, tandis que Vince continuant son exploration, finit par trouver ce qu'il cherchait: une cave oubliée de 69000 hectares avec un tonneau d'abondance, qui jamais ne se vide. Vince mit au défi arriva à le vider quand même. Cet exploit fera le tour des médias, et permettra à Vince d'entrer dans le guiness des records.
Mais revenons à Gab. Celui ci avait fini d'installer la machine. Il fit plusieurs essais sans cobaye, apprenant ainsi le fonctionnement de la machine et ses divers programme.
Gab décida que le moment était venu de faire un essai avec un cobaye. Il pensa immédiatement à Jean. Gab éteignit le bouclier de dissimulation, permettant à tout le monde dans le bar de voir l'objet. Grâce à son implant mental, il demanda à un jotuids de lui amener le barman. Gab, le ficela gentiment sur la formidable machine. Il régla le programme sur la position MAXI HARD MODE ULTRA DOULEUR!

La machine réagit au quart de tour: les fouets supersoniques et chargés au 400000V frappèrent le barman à la vitesse de 4000 coups /seconde.
Le gode s'enfonça dans le cul de l'infortuné Jean avec une force de 57587878 N et à la vitesse de 6900 coups/sec, le tout dans un silence magique, grâce à la lubrification de la machine et à son mécanisme parfait.
Seul les cris de douleurs de Jean toublèrent le silence, insitant la machien à redoubler d'effort sous les yeux ebahis de l'assistance.

Dans notre galaxie, la Voie Lactée, il y avait tant d’étoiles telles que notre soleil. Tout autour de lui, notre source de lumière, de nourriture et de vie, se trouvaient les autres corps du système solaire. Huit planètes, maintes lunes et surtout des milliers d’astéroïdes, qui, glissent à une cadence miraculeuse d’ordre et de précision.

Parfois, la tranquillité de ce délicat mécanisme est menacé par un brûlant intrus, venu du fond du néant : une comète. Sur des millions de kilomètres, de son noyau de feu jusqu’à l’extrémité de sa traîne brûlante, elle flamboie dans l’immensité infinie de l’espace, objet terrifiant enfanté lors de ces monstrueuses collisions qui furent l’origine de la création du système solaire.

Parfois, frôlant la Terre en une gerbe de flammes, les comètes donnent une spectaculaire représentation que les Hommes contemplent avec émerveillement. Parfois, elles traversent cette ceinture d’astéroïde se trouvant entre Mars et Jupiter, ce vaste dépotoir de métal et de roche. Parfois, une comète coupe la route de l’un des astéroïdes et, modifiant alors l’ensemble de sa trajectoire, cette masse de roche et de métal part, à toute vitesse, en une autre direction comme, un monde habité par exemple, mais de la à dire que Dim pour s’amuser causa une collision entre une comète et un météore juste pour que ce dernier fonce sur Terre et principalement sur le barman et bien, aussi invraisemblable que cela puis-ce vous paraître, tout ceci est bel et bien réel (mais quel sadisme quand même, mais quel sadisme).


C’était après le crépuscule, les constellations montraient leur feu charmant et, vint le temps ou notre lune, cet astre troué et argenté se leva, effaçant les astres les plus faible et, permettant à un homme solitaire, en fauteuil roulant, se trouvant sur un petit pont de pierre en un vaste parc, le tout, au dessus d’une rivière à l’onde pure et fraîche de contempler un spectacle devenus trop ignoré des gens vivants à la surface de ce vaste monde.

Oui, le barman, qui, depuis sa dernière aventure allait de déboires en déboires, en effet, outre le fait qu’il ne pouvait plus marcher pendant une période estimée à deux ans, bien des malheurs lui étaient encore arrivés. Des vidéos tout d’abords, surement truquées vous allez dire (avec juste raison d’ailleurs, c’est une spécialité de mon sadisme), le montrèrent lui, barman d’un établissement de luxe, déguisé en infirmière, se faisant fouetté par un gorille et prendre par un homme de forte stature (quoi, vous trouvez cette histoire stupide, alors lisez pas, non mais sans blague, attention, à la prochaine interruption, je me fâche, comprit ?).

Il eut beau essayé de clamer qu’il y avait encore un plaisantin de mauvais augure qui, juste pour s’amuser ou tuer l’ennuis d’un soir d’été, avait ici construit de toute pièce la dite vidéo, mais, il fut prouvé (enfin, presque), que c’était en fait lui, Jean, qui, pour se venger des vices que lui causait ses patrons (innocentés de suite), avait, truquer une vidéo de Dim qui, avait truqué une vidéo de Vince qui lui-même avait truqué une vidéo de Gab qui lui avait truqué une vidéo de on ne savait qui (il célèbre on ne savait qui, si si comme la princesse, je vous assure).

Et Gab, soit disant sadique (car c’est pas prouver ça, je fais que répéter ce que Vince dit et rien d’autre, j’ai une vidéo d’ailleurs pour le prouver), avait, entre temps, fait passer une loi interdisant les barman se prénommant Jean de truquer les vidéos sous peine de perdre son salaire durant vingt ans.

Jean alors, décida de démissionner et ô malheur, surcroît de désespoir, Gab lui montra les petites lignes du contrat qu’il avait jadis signé (sous hypnose ?). Il devait servir durant trente millènaires avant de partir.

Il était là, sur ce pont, piégé par Vince entre parenthèse que voilà (voyez, je l’avais annoncé, trop fort un, je vois l’avenir, oui donc, Vince à dynamité le tout mais chut, son plan va échouer grâce au mien, non mais sans blague, normal que je gagne, c’est moi qui rédige, quoi ? T’es pas content toi, allez hop, tu sors, je peux pas le savoir, allez, dégage, oui, la porte à droite, quoi, des Jotuid derrière ? C’est pas mon problème mais le tient, allez, sors, merci).

Le météore pénétra l’atmosphère de la planète à folle vitesse donc, bien évidemment, il fonçait vers un pont de pierre en un vaste parc ou se trouvait un barman en fauteuil roulant…

Mais revenons à Vince qui, avait avec une technologie volée aux Anciens, piégé ce pont (une bombe nucléaire de forte puissance mais, qui génère un champs de force qui empêche toute destruction et toute contamination au delà du bouclier, pas mal un ?).

Il atteint les hautes couches de l’atmosphère et les traversa sans peine, ne perdit qu’une faible proportion de sa masse d’origine, fonça, toujours plus vite (il y a un rayon tracteur) et…

Jean se tenait là, admirant les étoiles, il fit ce qu’il pensait être une étoile filante, fit un vœu, enfin, voulait, il n’eut pas le temps.

BOUM.

Le choc, une déflagration plus forte que tout orage terrestre, mais, Dim en sa gronde bonté plus que légendaire (et pourtant mal connue), déclencha la bombe de Vince, nouvelle explosion, le pont, annihilé à tout jamais mais, l’environnement proche, préservé de toute destruction (Dim clamera plus tard avoir aperçut une jolie japonaise dans le parc, d’où cette action de mise en marche de l’arme de Vince, juste pour sauver la jolie demoiselle).

On ne sut comment, le barman en réchappa (contrat avec les hauteurs ?), il dériva dans l’eau gelée durant des heures et, se fut un pêcheur qui le ramena au bar, quand Gab le fit, il lui dit de stopper les orgies signe de son côté débauché, Jean protesta et là, une projection holographique survint, on voyait le barman en une bien étrange compagnie avant de s’amuser avec des rayons tracteurs et des armes anciennes…

Après cette affaire, Dim reçue le titre de Héros de la nation, Génie des Génies, Bienfaisant des Peuple et Grand Humaniste de l’Univers.

Quoi? Tu me crois pas, allez, toi aussi tu vas aux Jotuids, allez, et, regardes un peu ça, elles sont pas belles mes médailles ?

Gab qui avait suivi l'action sur son écran géant avec son dolby surround, fourni l'explication de la survie du barman à Vince et Dim, à son arrivé au bar. Il leur expliqua qu'il avait fait greffé au barman (sans qu'il le sache) pendant son dernier séjour à l'hôpital, un mini bouclier paratronique. Mais celui ci avait une particularité, comme le dit gab à l'assistance haletante de suspense (il y avait bien aussi une certaine Maki qui haletait mais le suspense n'était pas cause, il vaudrait mieux chercher la raison au cours des exploits de la nuit passée, euh, bon revenons à notre histoire), ce bouclier est imparfait, il ne dévie pas toute l'énergie dans l'hyperespace, mais en laisse passer une partie, ainsi qu'une partie des radiations quand une bombe A explose. Seulun esprit sadique du plus haut niveau pouvait avoir eu cette idée qui reléguait Sylvestre et Bob à de gentils boyscoots.
Et Gab demanda aux gens pendus à ses lèvres (comme une certaine Maki, décidément très coquine, et bon je raconte vite fait cette histoire, car penser à Maki comme ça, j'en peux plus moi...).
gab demanda donc aux gens d'observer le barman. En effet les radiations vont pas tarder à produire des effets inattendus. Bien sur, il y aura les choses tardionnelles, comme la perte de cheveux, les boutons, les psutules partout sur le corps, le vommissement vert fluo et qui en plus fait des bulles, mais également, d'autre choses sur des parties du coprs plus sensibles, gniark gniark gniark (rire sadique intérieur de Gab qui n'en peu plus en pensant à l'acance à ce qui va arriv er au barman, et qui n'en peut plus en pensant à ce qui va arriver à Maki quand ce soir, il lui fera...)
En effet, gab annonça que Harry Potter et lui même avec la magie avait concoté quelque chose de fou, un spectacle incroyable, dont on se rappelera dans des milliers d'année, et qui fera passé les victime de Tchernobyl pour des gens pétant la forme.
Gab s'assi donc ainsi que la foule, pour pouvoir confortablement assiter au calvaire (et le mot est faible) du pauvre barman, qui pour le moment ne se doute encore de rien.

Il n’y eut que quelques signes avant coureur, il ne vomit que QUATRE MILLES litres d’un liquide qui fit fondre le sol du bar (d’où une perte de salaire de vingt cinq ans rembourser les dégâts), puis, la perte de sa peau. Mais, selon les médecins, il était en parfaite santé…

HRP : je vois pas ce qui peut être pire de ce que tu dis là… voyons voir.

les médecin en question avaient quelque peu bâclé leur diagnostique, car ils devaient aller en congrès à Okinawa. (les veinard, avec toutes ces japonaises en bikinis qui...). Ils déclarèrent qu'ils s'occuperaient de lui à leur retour dans 2 mois si il était encore vivant.
le barman, guère réconforté pas ces bonnes paroles (on se demande pourquoi, il lui restait un espoir quoi), vit sa situation de délabrer chaque jour un peu plus.
Outre le fait qu'io lui fallait travailler pour rembourser les dégâts du bar, ils perdits tous ses cheveux et tous ses poils, avant de voir ses couilles se déchirer et son membre tomber à ses pieds. De plus, sa dentition n'était pas sans poser de problèmes: en effet, un jour, à la suite d'un coup de poing amical de Dim, il avala ses dents. Son corps se mit également à marcher à l'envers: il chiait pas la bouche, pissait par le nez, pétait par les oreilles et mangeait par le cul. ce dernier détail était d'aiileurs un beau spectacle pour les gays à goût vraiment bizarre qui emplissaient le bar ces derniers temps.
Néanmoins, ceux ci étaient frustrés, le barman était tellement irradié (87967677777798986865876876787678776780989 rem) que personne ne pouvait s'approcher sans combinaison NBC.
Personne sauf une créature grise visqueuse répondant au nom de Gollum. celui ci bandait d'ailleurs de plus en plus devant le barman.
Gab (qui aimait humilié son barman mais pas à ce point) lui vient alors en aide:
Une ambulance emmena Jean à l'hôpital des cas déséspérés et Gab se saisissant d'un cactus, l'enfourna de plus 20 m dans le cul de Gollum qui accueillit la plante en hurlant de douleur, avant de le satelliser avec un bon coup de pied dans les burnes. Tout en accomplissant cette oeuvre salvatrice pour son âme, il s'écria:
"Et ce n'est pas la peine de revenir ici grosse merde de Gollum, on ne manque pas de baramine!"
Gab avant de repartir au bordel pour consommer ses japonaises préférées, dut éviter l'attaque au sabrolaser de Dim, frustré de n'avoir pu lui aussi bousiller du Gollum!

Une flotte de croiseurs attendaient dans l'espace, gollum approchait, ils tirèrent, la créature fut désintégrée et ô malheur, certains avaient tiré sur l'ambulance ou Jean se trouvait...

Gab pardonna cette erreur de tir de Dim, car lui aussi oeuvrait pour débarrasser l'univers des créatures inutiles. De toute façon l'ambulance était protégé par un bouclier paratronique qui fut quand même sévèrement endommagé par les vaisseaux de Dim. Gab envoya une force escorter l'ambulance qui fini dans un dernier gémissement mécanique par se poser à l'hôpital des cas déséspérés, celui là même qui avait sauvé Anakin, à la suite de son petit bain de lave.
Jean fût pris en main par les médecins, qui après 1 mois d'examens non stop (c'est pire que les partiels de la fac ce truc là!), annonça à Gab consterné (et quand même un peu amusé), qu'il leur faudrait 1 an pour remettre Jean sur pied.
Gab réfléchi alors à la situation. 1 an, c'est long quand même! Mais changer de barman n'est pas évident: les exploits du trio infernal étant connu du monde entier, qui se portera candidat?
Une voix se fit alors entendre: "Moi je veux bien"! Gab en colère se retourna, dégaina son lance flamme atomique et brûla Gollum (car c'est bien de lui qu'il s'agissait) au 897778888998899°, tout en utilisant la force pour l'envoyer sur la maison de Dim, encore en train de jouer au docteur avec Mikkiti.
Puis Gab repris sa méditation, et finalement trouva une solution géniale: Il se téléporta avec le barman et l'équipe médicale dans le palais du tout puissant. Là il demanda à utiliser la salle spéciale dans laquelle 1 jour=1année! Ainsi, Jean ne raterait q'une journée de travail!
Abasourdis et stupéfait par son propre génie, devant lequel Einstein n'était rien, Gab décida de rejoindre Aya Matsuura et Iida Kaori pour une partie de jambe en l'air, qui devait rester dans l'histoire. En effet, c'est en culbutant Iida contre le mur que Gab eu l'idée qui le rendi légendaire chez tous les pervrs de l'univers: pourquoi ne pas utiliser la salle spéciale pour les partouzes? 1 jour =1année de partouze, le pied! Et Gab décida d'organiser l'évènement dès la sortie du barman!

Dim alors qu'il était partit chercher une machine temporelle pour règler le problème de Jean apprit qu'entre temps Gab avait trouvé une solution. N'ayant rien à faire et devant mettre à profit cette journée, il attaqua les flottes de croiseurs intersidéral de son frère. Après une bonne guerre dans un système solaire éloigné (rayer de la carte de l'univers peu après, ils partirent pour préparer de nouvelles opération contre le barman).

Dim disparut un temps, ne laissant qu'un vague mot à Gab et Vince, l'enfer serait bientôt dans la vie de Jean, tous se demandèrent dès lors ce que le génie de Dim avait encore inventé?

Gab et vince, étaient il faut bien le dire impatient de voir les résultat de la pensée que le cerveau sadique obsédé et lubrique de Dim avait bien pu avoir. Savoir qu'une telle monstruosité cervicale était capable de penser était d'ailleurs un cauchemar permanent pour tous les habitants du monde sauf pour nos 2 compères Vinc et Gab, qui eux seul avait le sens de l'humour (ou du sadisme?) suffisamment développé pour apprécier les pensées de Dim à leur juste valeur.
Gab en était là dans ces considération philosophique, quand soudain la porte de la salle spéciale s'ouvrit et Jean sorti guéri, mais un peu changé quand même. On ne croise pas un type avec 5 oreilles, 3 mains et 12 pieds tous les jours.

Gab interrrogea les médecins: (Vince aurait bien voulu mais il était en train de jouir dans Alessandra Ambrosio!)"pourquoi l'avez vous laissé comme ça? c'est m'importe quoi!"
Et les médecins d répondre: "Oui, on trouvait ça tellement drôle que l'on a pas pu s'en empêcher!"
Gab comprenant leur humour, les félicita alors. Puis avec Vince qui venait de décharger élégamment dans Alessandra, il retourna au bar afin d'attendre la surprise concotées par Dim, tout en sirotant un bon cocktail, et faut il le préciser avec Monicca Belluci sous la table. Le bonheur quoi!

Dim revenait juste du fin du cosmos, son vaisseau se posa sur une île perdue dans l’immensité des flots d’un grand océan et, sur les images satellites très précise l’on pouvait voir une petite caisse débarquer d’un géant de l’espace, une sphère d’un diamètre de deux milles cinq cent mètres.

Une protection à toute épreuve, un nombre de boucliers protecteurs tendant vers plus l’infinis, des Jedis, des supers guerriers, des blindés, des missiles nucléaires, des canons transformateurs, séquentiels et polaires… et toute une liste qui serait trop longue à vous décrire.

Entre temps, un tout nouveau type de déformateur spatio-temporelle (une machine à remonter de temps quoi), avait été armée. Dim y grimpa et la machine disparue, dans le bar, Jean devint blanc comme un linge, tomba à tour, hurla de douleur, tomba en morceaux et se régénéra avant de recommencer son petit manège.

Entre temps, il fut constaté une chose, les enregistrements du jour ou Jean avait été complètement explosé sur le pont changèrent. L’explosion était plus violente, les radiations avaient augmenter de façon exponentielles et cela sans explication aucune.

Puis, se fut le jour ou Jean fut mené à l’hôpital pour sa maladie due aux radiations, se furent cent milles milliards de Jotuid armés jusqu’aux dents qui surgirent (après l’explosion de l’ambulance, ce coups-ce détruite non seulement par une flotte stellaire mais aussi par cent milles supers guerriers déchaînés) et qui, firent la fête au barman (si tu vois ce que j’veux dire).

Et enfin, se fut un film qui, n’existait pas avant, qui, apparut alors. On vit Dim, un jour ou Jean était à l’hôpital, l’opérer (ouvrir le ventre au sabre laser sans anesthésie donc) et lui placer un étrange artefact doré émettant d’étranges rayonnements énergétiques, l’artefact provenait bien de la caisse du début…

Dim revint dans le présent et vit Jean hurler à la mort, se désagréger, se régénérer sans fin. Puis, Dim sortit une sorte de télécommande, Jean cessa alors de se transformer en une ruine et de se reconstituer mais, il souffrait encore et encore.

Dim donna une télécommande à Gab et Vince aussi.

Et il expliqua le truc. Dim avait tant de choses à faire fonctionner que toute l’énergie de l’univers n’aurait pas suffit, il avait alors, concocté un plan de génie comme on en fait plus chez nous. Il avait en premier lieu, placé cet étrange artefact qui, non seulement attirait le malheur et la souffrance à son porteur mais qui en plus, était torturé à volonté par ceux qui possédaient les télécommandes. De plus, toute la douleur ainsi causée, ainsi que la souffrance, physique comme psychique, était transformé en énergie et libéré, Dim par la suite la récupérait (c’était pour ça qu’il avait changé le court du temps et fait encore plus souffrir jean qu’il n’avait souffert auparavant).

Gab était amusé par cette merveilleuse machine. Tandis qu'il s'amusait avec la télécommande, il eut une idée merveilleuse dans son sadisme le plus pur. Même le diable fusionné au Gritche ne pouvait atteindre ce niveau.
Mais alors que fis Gab?

Et bien il monta dans son croiseur intersellaire (tout en ayant laissé un robot, une IA immonde de perversité s'amuser avec la télécommande) et alla rejoindre la terre. .Là, il repris les travaux du professeur Tournesol, qui je vous le rapelle avait inventé une machine capable de copier n'importe quel objet. Gab perfectionna cette machie, la science n'ayant aucun secret pour son cerveau éblouissant. maintenant la machine était parfaite; et les objets copiés, fonctionnels et stable.

Je pense que maintenant vous comprenez tous où Gab voulait en venir. Gab après 2 mois de travail acharné était près à revenir au bar. Il refit le plein de son vaisseau, en vivre et carburant, et chargea 99999999999999999999999999999 machines recopieuse dans les soutes. Après un voyage sans histoire au cours duquel il croisa et détruisit malencontreusement la flotte d'une certaine créature grise, il fût de retour. Il alla auusitôt voir Dim, et eut avec lui une discussion légendaire qui allait entrer dans l'histoire.

Gab mit Dim au courant pour la machine et lui fit une démonstration en recopiant l'artefact que Dim avait inventé. Après avoir testé la copie Gab son cerveau incroyablement fécond ayant encore frappé avec une puissance intellectuelle hors du commun, de monter une usine de machines recopieuses, dont la moitié se recopierait (pour augmenter le nombre de machine, selon la loi de Moore, et l'autre moitié recopierait l'artefac, et ceci à l'infini. Gab avait également perfectionner les artefac, acr ils avaient maintenant une connection neuronale, pour faciliter la commande.

C'est alors que 9808766876877879556343544675876897989809876567453546585454564675675635646754675876789868 artefacs par personne entra en action. On avait encore jamais vu ça. De l'enfer, Hitler vomit devant l'horreur du spectacle. Je ne le décrirais pas car c'est tellement immonde qu'il vaut mieux jeter un voile pudique devant tant de sadisme.

La douleur que subie à ce moment là notre pauvre ami barman (ou presque, pour ami bien sur, pauvre … oui il l’est, depuis que j’ai pour rire (si l’on veut) augmenter par un nombre si grand je préfère ne pas le citer ses dettes … bref comme disait pépin, il est vraiment mal) fut si grande, que tout ceci transformé en énergie risqua de faire sauter l’univers en son entier, le surplus énergétique était tel que Dim le renvoya directement sur Jean qui souffrit encore plus, refaisant ainsi un surplus qui une fois encore lui fut renvoyé en pleine tronche et ainsi de suite sans fin comme l’histoire du même nom (ami modeleur, il y a pas un chien dans l’histoire sans fin ? Gab comprendra cette allusion … avec les modeleurs).

Donc prisonnier de ce cercle de douleur infinie Jean souffrait, hurlait. Son corps parcouru de spasmes violents semblait vouloir se désagréger, chose qui ne pouvait être faite car une faible pars de l’énergie était utilisée pour faire en sorte qu’il garde l’ensemble de sa structure moléculaire (et aussi pour qu’il reste en vie). L’énergie qui le faisait souffrir était devenue visible, semblable quelque peu aux « électrocutions » siths de la guerre des étoiles.

Quelqu’un qui était mort de rire (on se demande pourquoi … pourquoi ? Voyez on se le demande … et non malheureux on est au huitième, sautez pas non … trop tard !) Et surtout qui était complètement saoul trouva rien de mieux que de brancher Jean sur une déformation de la classique chaise électrique mais en bien plus efficace selon lui … Un autre, le crucifia, comme ça, par plaisir, par jeu peut être, je ne serais vous dire (quoi, je m’amusais avec de jolies japonaises pendant ce temps là moi, pas ma faute si elles sont si magnifiques).

Bref, il s’en prit plein la gueule comme d’habitude et un manque d’inspiration soudain fait que je trouve peu de chose à dire ce soir, c’est juste pour faire plaisir au frangin pour qu’il se lâche (bougez vous le nez les cocos sa va …) et qu’il puisse rédiger un message d’un tel intellect que même les anciens passeront à côté pour de simple barbares en pagne …

Après un mois de douleur et de torture sans fin, Gab Vince et Dim décidèrent d'arreter les frais. Pourquoi? Vous êtes en droit de vous le demander et il y a plusieurs raisons:
premièrement,les 3 amis avaient consommé toutes l'énergie de l'univers et il leur fallait attendre 1 mois pour recharger les fameux artéfacts. Je précise que entre temps Vince avait fait la connaissance 'une équipe de Sliders. gab, étant un génie de la science répara leur système de gliseement interdimensionnel et ils purent rentrer chez eux. Ils étaient content mais ce qu'ils ne savaient (et Jean non plus il aura la surprise) pas c'est que Gab maitrisait maintenant cette technologie avec une maestria sans pareil et que pour les prochaines tortures, il pourrait puisser l'énergie de tous les univers parallèles (qui sont en nombre infini je vous le rapelle!).
Bref (et Pépin ne dit rien, il est en pleine action avec Berthe aux gros nichons, euh non aux grands pieds pardon), revenons à notre histoire.
Deuxièmement: les 3 amis était fatiguer de torturer et de rigoler et un peu lassé aussi, de plus la partouze annuelle à Okinawa qui dure de Octobre à Octobre allait commencer et ils devaient se préparer.
Ensuite d'autres personnes voulaient s'amuser avec Jean, c'est vri faut savoir partager et pas être égoïste quoi! La seule chose que Gab ne voulait pas partager avait pour nom Aya Matsuura (allez savoir pourquoi: en fait je donnerais bien une explication mais si des âmes sensibles et pures lisent ce messages elles se jetteraient instantanément du 8eme étage et je ne veux pas être responsable d'un génocide! géno cid de Corneille bien sur! O rage O desespoir O connerie ennemie! n'ai je donc tant vécu que pour cette immonde parodie? citation de Corneille lui même avant sa défenestration!).

Bon allez revenons vers Jean en train de souffrir un peu. Son état était lamentable mais heureusement Gab avait en sa possession un sarcophage ancien qu'il avait améliorer et il put remettre le barman sur pied en 2 semaines seulement. Celui ci était inquiet: si il fallait seulement 2 semaines à ces 3 fous pour le retaper alors les séances de tortures allaient se reproduire encore et encore... (c'est fou le barman a la préscience, doit avoir du sang Atréide c'est pas possible autrement!).
Mais il eut une autre surprise: le bar était retapé et il put reprendre son travail. Et autre surprise, pendant 2 semaines rien ne lui arriva. Un timide espoir naquit dans son esprit: les 3 débiles se seraient-ils lassés? Le laisseraient-ils tranquille? n'auraient-ils plus d'idées? Le barman devenait plus serein et on le vit même ressourir et retourner au bordel. (Je vous rassure cher amis, les 3 abrutis ne sont pas en manque d'idées sadiques et ce qui suit va vous le confirmer).
Un jour Gab entra dans le bar commanda une bière et la but tranquillement. Puis il paya et parti. Jean soupira de soulagement mais Gab avait presque franchi le seuil de la porte quand il se retourna ppour annoncer tou fort:
"Au fait Jean, le mois prochain c'est le séminaire annuel des Jotuids légendaires et de leur clones! Il devraient y avoir 7 millions de jotuids légendaires et 2 milliards de jotuids invité! C'est pour cela que le bar a été agrandi, car ils ont décider de venir ici, ils aiment cet endroit et son barman!"
Jean blémit, blanchi verdi tout ça en même temps. Il paerti préparer son testament tandis que Gab royal et superbe parti le sourire au lèvre vers le bordel d'un pas assuré.

Jean attendait avec une crainte à peine dissimulable ce séminaire des Jotuids, résigné en son étrange fatalisme, notre pauvre barman n’avait plus la volonté aucune de s’opposer encore aux folies de ses employeurs qui d’ailleurs, avaient droits en cet univers (non mais sans blague ! Quoi, tu es pas d’accords toi la blonde au gros seins, allez, suce, oui je sais, elle est énorme …).

Il était à ce moment à quatre pattes, nettoyant les dernières tâches de spermes qui restaient à terre depuis la dernière partouze entre Dim et une centaine de japonaises salopes, belles et douées du cul et de la langue. Il ne vit alors la créature entrer, il était très maigre, à la peau sombre, aux pieds larges et aux mains fines, ses yeux étaient grands et pâles. Sa vue était faible, mais son ouïe et son odorat étaient développés par la vie sous terre.

-Oui mon trésor, voilà un anus fort appétissant, oui mon trésor, on a envie de lui mettre de sexe gris et ridé.

Mais Jean ne vit pas, n’entendis pas, gollum doucement s’approcha, et, d’un geste rapide après un saut qui surprit jean, il déshabilla le pauvre homme qu’il encula sauvagement à sec avant de tout lui lâcher en sa bouche.

Fier de lui, gollum sortit et fut aussitôt prit pour cible par une foule de brissoniens en délire …

Gollum réussi à fuir sans que l’on sache vraiment comment. Son esprit de petit être gris et pervers en ébullition après ce coup d’éclat.
Jean quant à lui était prostré. Il ne bougeait plus. Son cerveau s’était arrêté. Sa honte, son désarroi étaient à leur comble. Il ne ressentait plus rien, sa volonté brisée, ne voulant même pas se tuer ni se venger.
Enfin après avoir passé la nuit à 4 pattes son cerveau recommença à fonctionner. Il se rendit alors pleinement compte du préjudice sur sa personne et sa honte en fut multipliée. Il mit le bar en fonctionnement automatique et se traîna lamentablement chez lui.
Alors il ouvrit plusieurs bouteilles de Vodka afin d’effacer le goût atroce de la semence gollumienne. Il se doucha également 5 fois avant de prendre un bain de plusieurs jours afin de purifier son corps et de lui rendre son éclat d’autrefois.
Pendant une semaine Jean ne dessaoula pas voulant à tout prix oublier son infamie.

Mais au bout de 10 jours des idées différentes commencèrent à germer en son esprit. Des idées terribles de vengeance, une vengeance d’une violence jamais encore vue. Il ne pouvait pas laisser un tel crime impuni. Il devait poursuivre Gollum jusqu’au bout de l’univers si nécessaire, quitte à démissionner, quitte à tout perdre. Son esprit tout entier ivre d’une rage folle ne vivait plus que pour voir Gollum souffrir et mourir sous ses tortures.
Pendant ce temps Gab et Dim inquiets de la disparition du barman menèrent leur enquête. Ils découvrirent en visionnant la vidéo surveillance du bar ce que le barman avait subi. Après avoir rigolé comme des fous pendant plusieurs heures (et oui ils ont un esprit sadique que voulez vous, quand on voit Gollum enculer un barman, on a envie de rire, c’est humain !) ils furent eux aussi dans une rage folle et décidèrent d’aider Jean, leur barman préféré à recouvrer son honneur.

Jean pendant ce temps préparait sa vengeance. Il établit une liste de matériel pour sa poursuite et sorti de chez lui. Et là quelle ne fut pas sa surprise ! Tout le monde Dim et Gab en tête étaient rassemblés devant chez lui. Croyant qu’ils étaient là pour se moquer de lui Jean s’arrêta et tel Raffarin au meilleur de sa forme enfonça sa tête dans ses vêtements tel une tortue. Mais il n’entendit aucun rire, alors il releva la tête.
Gab s’approcha alors de lui et lui dit : « on sait ce qui s’est passé et on est là pour t’aider à te venger. Nous on aime bien te massacrer mais avec RESPECT ! Il y a des limites à ne pas franchir ! On a même un plan à te proposer ! Pour laver ton honneur je te propose ma machine à remonter le temps (machine Gab avait soit disant volé à un certain HG Wells, pff en plus celui-ci eu le culot de venir réclamer son bien, c’est d’ailleurs la dernière fois qu’on le vit en ce monde, quel con celui là je vous jure). Bon revenons à notre histoire sérieuse, avec la machine à remonter le temps, tu pourras effacer de l’histoire ce moment immonde ! Et après torturer cette saloperie grise autant de fois que tu le désires ! »

Jean fut séduit par le plan. Il parti avec Gab pour préparer la machine. Dim pendant ce temps ne resta pas inactif. Il décida de faire venir Gollum pour être sur qu’il soit là au retour du barman dans le présent, pour qu’il puisse le torturer. Avec ses pouvoirs psychiques il lança un sort qui lui permettrait à Gab, lui-même et Jean de se rappeler le premier évènement. (Enfin pour Jean, le souvenir s’effacerait une fois la vengeance assouvie). Les autres quant à eux se rappelleraient seulement que Gollum avait fait chier Jean et qu’il devait être puni sévèrement.
Harry Potter amena Gollum avec un sortilège accio. Alors la torture commença : on vit Michaël Kael amis avec le super mouton enfoncer des tronçonneuses allumées dans le cul de la chose grise, Tirr enfoncer des baramines en forme de caniche au même endroit (ce qui lui vaudra d’ailleurs le prix du schraouffage artistique, décerné à l’unanimité du jury !) , on vit même Voldemort fusionner avec Lily Potter pour un sortilège d’AVADA KEDAVRA particulier, puisque il tue cellule par cellule en augmentant la douleur de Gollum par factoriel le nombre de cellule morte ! (Ce sort sera élue au magenmagot sort de l’année si utilisé sur Gollum !). Bien sur pour éviter que Gollum ne meure le dragon sacré le maintenait en vie.

Mais que devenait pendant ce temps Jean et Gab ? Et bien Gab prépara rapidement la machine et ils partirent dans leur voyage temporel. Gab avait réglé la machine pour arriver 6 heures avant Gollum afin que Jean puisse préparer sa réception de la merde grise.
A peine la machine stoppée, Jean se rua dans le bar, stupéfixa le lui-même du passé (c’est Harry Potter qui lui avait appris ce sort !) et le cacha. Il prépara alors son dispositif. Premièrement un mannequin de lui-même bourré de bombe H avec un piège dans le faux fion afin que Gollum ne puisse s’échapper. Puis, il entoura la zone de boucliers paratronique (modifié pour envoyer sur Gollum l’énergie absorbée et protéger le bar). Le dispositif fut parfait avec des blasters à tirs automatiques, des canons transformateurs universels à résonance, des pics empoisonnés devant tomber du plafond et surgir du sol, des lances grenades, et des mitrailleuses dont une que le barman voulait manier lui-même.
Alors Gollum arriva. La violence se déchaîna. Le CSA voulu censurer la scène mais Gab les en dissuada avec la menace de jeter quelques jotuids affamés depuis 273844849489 ans lors de leur prochaine réunion.
Revenons donc à l’action. Gollum s’enfila le mannequin et resta coincé, une ficelle cloutée autour de son membre. Tous les dispositifs furent activer en même temps tandis que Jean tira à la mitrailleuse, sa bouche déformée par un rire d’un sadisme jamais atteint jusque là même dans nos rêves les plus fous. Gab filmait la scène en essayant de ne pas trop rire pour ne pas rendre floue l’image tandis que Gollum se tordaient de douleurs. Une fois les munitions épuisées, les bombes H explosèrent pour achever le travail. Le Gollum n’était plus qu’une loque ensanglantée qui se traîna lamentablement hors du bar. Jean n’avait pas voulu le tuer pour pouvoir le finir dans le futur.

Jean et Gab rangèrent le matériel, enleva le sort de stupéfixion du barman du passé et repartirent dans leur temps. Ils revinrent et découvrirent Gollum se tordant de douleurs sous les tortures. Voyant le barman revenir, la foule s’écarta afin de permettre à Jean de jouer.
Celui-ci commença de manière classique : fouet clouté, puis il creva les yeux de Gollum et les lui arracha puis les piétina. Il arracha les oreilles de la connerie grise et les lui mit dans le cul. Ensuite il écartela Gollum, et lui fit une multitude d’entaille avec un couteau et lui mit du sel sur les plaies. La foule en délire en criait de joie tellement fort que la souffrance de Gollum ne s’entendait plus. (Peut être le fait que ses cordes vocales étaient arrachés et écraser par un camion expliquait le silence gollumien.) Enfin Jean monta à bord d’un rouleau compresseur de 68679989099809898098989089868768 tonnes et écrasa Gollum à la vitesse de 0 ,0000000000004 km/h, avant de lui enfoncer une baramine spéciale augmentant en longueur et en diamètre au fur et à mesure de son introduction dans le fondement de Gollum qui à la stupéfaction de tous trouva encore la force de crier au monde ravi sa souffrance.
Les jotuids ébahi par tant d’imaginations et de savoir faire décernèrent le titre d’amis des jotuids à Jean et lui promirent de faire toutes leurs fêtes dans son bar. (les gentils animaux avaient un sourire un peu sadique en pensant à tout ce que le barman allait subir durant ces fêtes, je sais c’est un peu dégueulasse, mais les jotuids ne peuvent pas s’en empêcher !). Jean heureux et son souvenir honteux effacé de l’histoire ne compris pas tout de suite. Les jotuids félicitèrent Jean en le mettant des claques sur l’épaule. Malheureusement ils calculèrent mal leur force et lui arrachèrent la cage thoracique. Mais le dragon sacré remis le barman en état.

Ensuite tout le monde parti faire la fête au bordel. Tous sauf Gab qui rejoignit son harem privé, tandis que son esprit sadique baignant dans la béatitude de son aura maléfique, avait à l’image un cactus grandissant en longueur en en diamètre (de même pour les épines) s’enfonçant dans le séant du barman. Il se promit d’essayer rapidement tout en enfonçant avec délice et volupté son grand membre turgescent dans la chatte de Ayaya.

Vint alors ce moment que tous attendaient avec envie (sauf Jean) : le séminaire des Jotuids (maintenant 150 000 milliards d’invités). Il y avait là tout les Jotuids, ceux qui sont sorciers, jedis ou siths, ceux qui, depuis des millénaires se préparaient pour cet instant de rêve sublime, de joie sans cesse grandissante, de bonheur incroyable et sans nom, d’horreur et torture pour un homme qui, désespéré à vie, tremblait si fort qu’il entra même en résonance (comme une certaine planète sous l’action des pets nauséabonds d’un GAB pétomane professionnel …

Mais il restait encore quelques jours, et oui, le bar fut à nettoyer après un raz de marée de semence blanche de Dim tant qu’il jouit en Ai Takahashi qui en hurla si fort, que des êtres venant d’au-delà de l’univers portèrent plainte (contre gollum, allez comprendre vous).

Jean dut donc passer des jours seul nettoyer le bar, ruiner par Vince juste par plaisir et non sadisme, nous ne sommes pas sadismes, on s’amuse juste un peu et ce de manière un peu gore avec nos amis qui, apprécient de toute manière (demandez à Jean quand il est sous Imperium pour dire oui et en réclamer tant qu’il aime … ou presque).

Mais il y avait encore tant de problème, gollum, l’idole du monde, que dis-je, de l’univers, symbole de la grâce féminine (l’auteur est poursuivit par des femmes suites à cette annonce, face à la taille de son membre (l’univers parait minuscule à côté), restèrent avec lui, non pas pour le frapper comme prévus mais pour s’amuser avec le saint membre d’un dieu si bon que tous pouvaient apercevoir sa beauté à des années-lumière).

Bien, reprenons notre histoire (excusez, je reviens de Tokyo et heu … sublime les japonaises, sublime, depuis qu’elles se rasent la chatte et qu’elles sucent, un paradis auquel l’Eden semble qu’une décharge … sans vouloir faire de jeux de mots minables) … donc bien, gollum donc, essaye d’attaquer Jean qui, faisant un triple salto arrière par l’avant projette la créature grise contre un mur après lui avoir choppé le bras, le mur s’effondre et Gab annule le salaire de Jean pour rembourser.

Gollum se relève, et attaque Jean, celui-ci l’évite et alors, la chose grise attaque Gab pour le pénétrer avec violence, le pauvre … une purée grise se répandit à terre et s’écoula lentement dans une cuve de soude transmutée par Full Métal.

Bref, revenons un tant soi peu dans le sérieux de cette histoire non vulgaire, si poétique que même John Keats serait l’apprécier, tous pleurent devant cet écrit avant de se tuer, preuve que notre génie inégalable en tout l’univers est si magnifique, que, les gens l’admirant, mettent fin à leur jour juste pour laisser les grands de l’univers entres eux … (sauf les jolies filles … au travail ma belle, suce, mais si, ça entre t’inquiètes pas, mauvaise démarche).

Bon, trois jours passèrent, le bar fut remit en état … on ignore comment entre nous, ont dit que Gab et Vince trouvèrent le moyen de motiver Jean (j’ose pas imaginer les enfants, je suis sur que même mon sadisme pourtant génial n’est rien ici, face à l’imagination de ces deux pervers débauchés, tortureurs professionnels). En tout cas, Jean sortit en loque et en ruine, de petits morceaux de chaires sautant un peu partout, le dragon sacré dut mettre une semaine pour le réparer.

Bref, vient donc ce jour que tous attendaient, on promet l’apothéose ici depuis l’arrivé de Jean, Gab se frotte les mains, prépare les cactus, Dim lui, prépare les briquets, les lances flammes, les réserves d’essences … Vince lui on sait pas ce qu’il prépare mais en tout cas, ça va faire mal. Les Jotuids arrivent, écrasent Jean sans s’en rendre compte, s’excusent en le remettant sur patte (là aussi on ignore comment), ils paraissent nombreux, ils se disent qu’ils ne sont que l’avant avant avant avant avant ………………… garde, Jean en chie de son froc, les Jotuids le lavent à la lance incendie (spéciale Jotuids).

Puis merde, c’est long tout ça, comme ma queue et trizzzzzzzz gollum, allez frangin, hop, à toi coco et attention, les cactus sont là, le feu attend, les Jotuids ne sont pas tous encore arrivé, le suspense intense croît d’une telle façon qu’il est, indescriptible …

Gab se réveilla content de cette nouvelle journée. La veille il avait travaillé dur pour mettre au point son cactus surprise. Gab se leva regarda le corps superbe de Ayaya encore endormie sur le lit. Cette vision de rêve le mit dans un état à faire honte à Rocco Sifrédi en personne. C’est alors que Aya se réveillant et voyant le membre fièrement dressé se jeta dessus et … (bon le reste est privé bande de cochon pervers ! on est pas là pour raconter à quel point Ayaya sait faire jouir un homme mais pour parler de la journée de Jean ! non mais alors !)
Après cette petite digression Gab fini de préparer ses cactus et alla rejoindre Vince et Dim avec lesquels il mit au point le plan pour amuser les jotuids au dépend de Jean.
Le barman lui se leva épouvanté à l’idée de la journée qui l’attendait. La sueur inondait son visage blême, encore plus blanc qu’un fantôme lavé avec Ariel Ultra. Mais Jean décida de faire courageusement face à son destin (on peut ici admirer le courage d’un homme dans son essence sublime, bon en fait c’est la présence de canons au dessus de sa tête prêt à faire feu en cas de lâcheté qui donnait au barman son courage mais chut ! N’en parlons pas ! Comment ? C’est fait ? Zut bon tant pis, Jean passe pour une merde, c’est pas grave !).
C’est alors que les jotuids arrivèrent dans le bar de Jean. Celui-ci commença à les servir avec appréhension mais tout se passa bien, à part son crâne ouvert et son bras arraché, ce qui en présence de tant de jotuids saouls et refait comme des draps de pauvres pendant 3 h00 est une remarquable performance. Vers le milieu de l’après midi une voiture s’arrêta devant le Bar. Jean déplia le tapis rouge (coloré avec son sang) devant le seigneur des jotuids. Celui fut ému de la délicatesse et de la prévenance de Jean :
« O grandissime barman ! Tu es vraiment l’ami des jotuids ! Faire un tapis rouge avec ton sang, c’est remarquable ! Je suis ému devant tant de tendresse et d’amour à notre égard ! »
Et honneur suprême, le seigneur jotuids au lieu de piétiner à mort le serviteur humain se contenta de lui arracher le pied droit pour le lui manger devant les jotuids agenouiller en signe de respect !

Le chef jotuids prit alors la parole et présenta devant l’assistance le bilan d’une année d’activité : humain tué, massacré mangé, bastons…
Après un premier discours et une ovation de l’assistance, Gab Dim et Vince entrèrent dans le bar sous le regard inquiet de Jean. Les jotuids saluèrent leurs amis en entonnant l’hymne jotudien :

Refrain :
« Nous sommes les jotuids dans l’univers!
On massacre la journée et la nuit !
Et on n’aime pas les humains !

Premier couplet :
Nos ancêtres n’aimaient pas la peinture verte !
Mais les humains nous on génétiquement modifiés
Pour pouvoir la supporter !
Maintenant avec leur tripes ouvertes
On les déguste pour les remercier !

Les jotuids s’arrêtèrent au 1er couplet sur un hymne qui en compte 20. Nos 3 compères sadiques et monstrueux dans leur perversité qui n’a d’égal que leur lubricité montèrent sur scène et firent apparaître Gollum pour que les jotuids s’amusent. Ceux-ci attaquèrent Gollum avec une telle violence que même moi je me dois de censurer cette scène en passant un documentaire sur les homards.

Les homards sont des crustacés vivant… On s’en fou hurlèrent les lecteurs ! On veut voir les restes de Gollum !
Bon revenons alors au bar ou les restes de Gollum étaient visibles sous la forme de petits morceaux de chair ensanglantée collés sur les murs et le plafond.
Jean un peu soulagé crût pendant un bref mais salvateur moment qu’il serait oublié.

Et non ! Comme vous vous en doutez l’esprit fécond sans limite de nos 3 amis fit des merveilles. Comme prévu Vince ouvrit le bal. Premièrement il distribua des lasers au jotuids ébahis (d’habitude ils ne se servent que de leur dents et griffes), et leur expliqua que à son commandement il pourrait faire feu sur le barman et que cela les feraient bien rigoler. Jean apprécia moyennement la plaisanterie. En effet en général, il faut bien l’avouer on n’aime pas trop se faire flinguer à coup de laser. Mais ce n’était pas fini. Vince avait prit des cours d’alchimie avec Full Métal et transmuta Jean en bouclier atréide. « Feu » hurla t-il !
Les jotuids firent alors un feu d’enfer et Jean explosa alors violemment ! Les jotuids un rien sadique mais surtout respectueux de leur ami barman firent feu jusqu’à l’épuisement des E2PZ des lasers.
Ensuite Gab présenta à l’assistance éblouie par son génie créateur de sadisme son cactus surprise à allongement longueur diamètre (de même pour les épines) et à fragmentation. Jean qui venait de se remettre des explosions chancela devant l’horreur ultime qu’il devina se profiler. Gab alors dans un geste majestueux, preuve d’une maîtrise et d’une fluidité inégalée enfonça le cactus dans le cul de Jean. Le cactus grandit en enfla à grande vitesse tout en se multipliant grâce à la fragmentation.
C’est alors que Dim avec une grâce et une maîtrise parfaite également alluma son briquet et enflamma les cactus dépassant du derrière de Jean. Les jotuids étaient mort de rire et s’en roulaient par terre.
Jean, lui aussi roulait par terre mais plus pour se tordre de douleur. Après une heure de combustion, Gab arrêta l’effet des cactus surprise et arrêta le feu avec un extincteur. Les jotuids se relevèrent avec difficultés des larmes de rire ruisselant sur leur visage.

Jean n’étant pas encore tout a fait remis (quel chochotte celui là ! un petit cactus et il est blessé ! je vous jure on ne peut plus compter sur personne de nos jour), les droids servirent le repas aux jotuids. De la bonne chaire humaine mariné dans du Saint Emilion. Un chef d’œuvre de la gastronomie jotuidienne, tandis que Gab, Vince et Dim se firent servir un civet de lièvre.
On peut dire que cette journée s’annonçait vraiment tranquille et prometteuse !