La taverne du forum

LA SEULE FAÇON DE RENFORCER NOTRE INTELLIGENCE EST DE BOIRE UNE BIÈRE AVEC VINCE ET D’ENFOURNER DE CACTUS L’ANUS BÉANT DE JEAN.

John Keats après une murge avec Vince.

La nouvelle année débutait à peine et déjà des foules immenses convergeaient de tous les points des univers et de l’espace-temps en direction dans la taverne. Les clients entraient, certains avec des cactus, d’autres avec des lances flammes, des masses d’armes, des arbres de la douleur en miniature, divers engins de torture etc ; tout cela dans le but de souhaiter à Jean la bonne année comme il convenait.

Jean pénétra les lieux, évitant une charge de cavaliers armés de sabre laser à qui il fit un superbe doit d’honneur avant de leur montrer son cul. Bien mal lui en prit, ils saisirent des arbalètes lanceuses de cactus et le tavernier hurla à la mort, courant le pantalon baissé, les mains sur ses fesses et des cactus plein le derrière. Il ne vit pas venir des arquebusiers commandés par un certain Dim, ceux-ci déchaînèrent une véritable pluie de balles sur l’infortuné barman qui se fit trouer et déchiqueter. Enfin les cactus encore présents dans son anus saisirent les briquets gentiment offert par Dim et Thib qui regardèrent des étoiles plein les yeux ce spectacle féérique de plantes épineuses s’enflammant dans un derrière de tavernier déjà durement ravagé. Devant toute la poésie de cette scène si gracieuse, quelques larmes s’écoulèrent des yeux des clients.

Gab qui avait besoin de Jean pour le torturer appela le Sarcophage des Anciens afin de réparer la chose difforme qui servait moins de tavernier que de souffre douleur. Le Sarcophage qui avait posé quelques RTT pour les fêtes n’apprécia guère, il se dépêcha de régénérer Jean avant de l’expulser sauvagement avec son siège éjectable. Jean fusa droit sur le plafond et se tête s’encastra avec fracas dedans. Quelques fissures apparurent, puis une partie du plafond s’effondra, Jean s’explosa à terre la tête première. Se relevant avec peine il constata avec horreur qu’il était entouré par une foule de clients déments, bavant et au regard sadique. Les clients saisirent les fléaux d’arme, les lances et les épées, attaquèrent avec des flèches d’acide et des pluies de sortilèges. La scène fut innommable, un carnage horrible et bestial. Les clients déchaînés poussèrent Jean en direction des Barbares qui déjà attendaient avec leurs mitrailleuses lourdes. Krom lui-même attaqua Jean avec ses seules dents avant de transformer Jean en acier pour le forger, en faire une épée qu’un magicien enchanta. Alors Krom reprit l’épée et attaqua la bière devant un Vince abasourdi. La bière alors tranchée hurla à la mort avant de s’évaporer. L’épée redevint barman après cet exploit et Vince sentit en lui monter une furie sanguinaire d’une telle intensité qu’il atteignit pour une énième fois la toute première fois la première colère. Ses yeux injectés de sang, son regard démoniaque, son aura maléfique à l’extrême causèrent un tel effroi que tous reculèrent, cherchant ainsi à s’éloigner du plus que créateur des dieux. Vince s’empara du barman, l’étrangla avant de lui arracher la tête de ses mains et de l’éclater avec ses pieds. Puis il régénéra l’odieux barman pour lui transformer les yeux en mini-réacteurs nucléaires qu’il fit exploser. Il régénéra encore le tavernier pour forger une épée biologique, Jean passa par le four, le marteau, le four, le marteau, les éclairs, le four, le marteau de Thor, la Montagne du Destin, le feu de Smaug et un tsunami de Poséidon en vain, l’arme ne fut jamais forgée. Alors Vince qui sentait sa colère croître par le manque de coopération et d’enthousiasme de son ennemi, il décida de la balancer dans le Cocyte qu’il balança alors dans le Tartare qu’il balança dans le Chaos avant d’envoyer tout cela dans une la dimension de l’horreur suprême, celle même que les Jotuids craignaient par-dessus tout.

Gab réalisa le miracle d’utiliser le clone d’une sauvegarde du clone d’une âme de tavernier pour ensuite utiliser la sauvegarde d’un clone de Jean. Alors que Vince fonçait droit sur Jean pour le pulvériser, Gab téléporta son ami dans le Bordel à la section Japonaises plus chaudes qu’une supernova pour le calmer. Là-bas l’Alcoolique Suprême retrouva le Prêcheur des Oris qui convertissait ses fidèles à la position d’Alexandre le Grand schizophrène chargeant les stormtroopers dans les Champs du Pelonnor sous les regards amusés des Goa’uld rastas.

Jean qui se remettait à peine des horreurs qu’il venait de vivre, Dim s’amusa avec l’un de ses cadeaux de noël, celui qui permettait de revivre les événements passés. Dim avait déjà modifié l’engin et l’actionna pour que Jean revive 76864758950936454735234232537586960327546474848948474849492324188796453000² la punition que Vince lui avait infligé à l’instant.

Jean totalement anéanti psychologiquement par les horreurs horriblement horribles qu’il venait de vivre et revivre, ne fit pas attention au verre que lui tendait Gab, il but d’une traite. Gab avait fait boire à Jean du poil à gratter transmuté en liquide. Quand Jean sentit des démangeaisons atroces le ravager il chercha, en vain, à se gratter. Alors Gab via la magie transforma les ongles du tavernier en ongles Gritche. Et là le spectacle fut incroyable, merveilleux, sensible : Jean complètement abattu par cette sensation atroce d’irritation se transperça et se déchiqueta de lui-même. Ainsi volèrent en éclat sa peau, ses os, ses muscles et ses organes. Gab confia alors Jean aux bons soins des Docteurs Sadiques qui déjà n’avaient qu’une envie : faire morfler leur client préféré.

Les Docteurs Sadiques retapèrent Jean, celui-ci fut étonné que ces monstres de perversité malsaine puissent finalement le soigner. Et justement, si ces derniers s’étaient rabaissés à soigner le barman au lieu de le pulvériser s’était dans le but secret de faire toute une série d’expériences glauques sur et dans son corps. Pour commencer, ils avaient enlevé une partie des organes du malheureux puis, ils avaient assemblés des morceaux d’organes aux fonctions différentes pour comment le tout allait fonctionner. La réponse est simple : mal. En effet, quand vous relier un quart de poumon avec la vessie et que celle-ci diverse l’urine dans celui-là, on imagine avec un émerveillement le résultat. Et que dire de l’estomac relier avec le cœur, sinon que les sucs attaquèrent l’intrus. Jean s’arracha lui-même le cœur rongé par l’acide chlorhydrique tel un chevalier au meilleur de sa forme (ou pas). Tout comme le cerveau relié à la rate. Les globules rouges « mortes » s’agglutinant entre les synapses et foutant un beau merdier. Les Docteurs étaient particulièrement fiers de leur œuvre, laissèrent Jean souffrir le martyr après lui avoir souhaité une très bonne année de circonstance, et surtout la santé (les sadiques quand même).

Jean qui allait de mal en pis (de vache et TRIZZZZZZZ Gollum/ 3.14159265359 et TRIZZZZZZZ Gollum) s’en alla difficilement en quête du Sarcophage des Anciens. Ce dernier s’étant éclipsé sous une pluie acide, le pauvre barman connu encore bien des souffrances avant de pouvoir se hisser dedans. Une fois expulsé, Jean retourna servir les clients qui lui souhaitèrent la nouvelle année de manières souvent très étranges : une fourchette dans l’œil pour voir quel effet il en résulte, un marteau piqueur dans une oreille, transformer son postérieur en cible et jouer avec des fléchettes explosives ou/et empoisonnées, le cogner dans les parties sensibles avec des masses, lui casser les dents avec des boules de pétanque, l’entailler pour le transformer en fontaine de sang etc, bref tout se passa dans la joie et la bonne humeur qui caractérise notre chère Taverne.

Après une nouvelle régénération, Jean constatant la présence de King Kong dans la taverne s’approcha du singe géant, arracha son string Dora l’exploratrice et enfourna le gorille avant de tout lâcher dans son postérieur, et cela devant les yeux de Gollum et en lui clamant : « tu vois comment il faut s’y prendre amateur de sournois puant ! ». Non seulement il fut massacré par un King Kong particulièrement humilié mais aussi par un Gollum plus que jaloux. Par la suite Gollum changea le vrai nom de Jean afin que ce moment de gloire ne puisse plus se reproduire.

Alors que les plus que dieu regardait amusé le comportement enfantin des clients, le Singe lui faisait le tour des tables pour souhaiter à tous les convives une bonne année. C’est alors que surgirent des murs des milliers de balistes qui tirèrent leurs traits en direction du Singe. Chaque projectile se transforma alors en un Gollum arrachant son pagne, le sexe en avant et hurlant : le SINGEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE. Et là, l’incroyable se produisit, un des Gollum qui était le vrai réussit à pénétrer l’anus simiesque. Alors qu’il allait hurler au monde sa satisfaction il sentit quelque chose d’étrange, comme si son sexe était dévoré. Bien entendu s’était le cas et le membre de Gollum disparut comme rongé alors que la créature grise fut aspirée par l’anus du Singe et disparut. Le Singe raconta alors à toutes et tous qu’il avait amélioré le concept du faut fion pour en faire une arme protectrice qui annihilait l’attribut adversaire avant d’envoyer l’ennemi dans une autre dimension. L’ovation fut générale et Gab pour fêter cet exploit clama qu’il payait sa tournée de torture barmanienne. Les clients alors s’emparent de toutes les armes ou objets insolites traînant dans l’établissement pour s’en donner une nouvelle fois à cœur joie.

Alors que Thib essayait de soigner Jean avec ses plantes carnivores médicinales (étonnamment en vain, c’est dingue quand même), Dim et Ai s’esquivèrent pour leur moment de gloire. Tous les deux partirent en direction de l’hôpital de la Taverne. Le Malheureux Concours de Circonstance passant par là, il afficha un plan qui montrait tout spécialement où se trouvait la salle de contrôle des soins divers pouvant s’exécuter dans l’hôpital. Alors que Dim et Ai s’en allaient tous deux vers cet endroit magique, le Malheureux Concours de Circonstance alla trouver Thib pour lui dire de placer le barman dans une cuve à bacta au sein de l’hôpital plutôt que de continuer ses soins. Thib comprit de suite que cette histoire sentait le pâté de faisan dans le sapin accepta. Alors que Jean sentit le bacta faire son œuvre, Dim et Ai déjà à l’action menaçait l’équilibre même du monde astral tellement ils y allaient fort. Et au moment du GRAND COUP DE REIN, Ai totalement emportée par le flot de plaisir parcourant son être actionna par mégarde un programme tout juste achevé par le Malheureux Concours de Circonstance. Dans la cuve, le bacta fut remplacé par de l’huile de moteur particulièrement toxique et cancérigène, ensuite une étincelle vint mettre le feu à celui après un bain de quelques heures pour le pauvre Jean.

Alors que la journée n’était qu’à son commencement, nos plus que dieux constatant le triste état déplorable de l’explosé barman, ils appelèrent à eux leurs fidèles pour les porter en triomphe vers les immenses foules de femmes nues qui attendaient depuis le début de ce message la pénétration de la foi dans leur organe reproducteur. Enfin, c’est avec une grâce légendaire d’alcooliques pervers que nos héros s’en allèrent vers le Bordel pour s’adonner à de nouveaux plaisirs.

Message spécial : le jeu dont Jean est le zéro héros.

Le réveil sonna soudainement et Jean ouvrit difficilement les yeux. La sonnerie avait cessé et le barman n’en revenait toujours pas: il était bel et bien chez lui. Enfin, après des mois et des mois il avait eu le plaisir de retrouver son chez soi adoré, le seul endroit où il se sentait en sécurité, loin de ses maudits patrons. Ces derniers mois, il avait passé toute sa vie dans cette taverne où il prenait cher. Mais enfin, oui, enfin, il avait passé une nuit douce et agréable. Il se leva, plein d’énergie et gagna la salle de bain. Il opta pour une bonne douche bien chaude. Il était en train de savouré le bien être que pouvait lui procurer l’eau quand soudain il sentit comme une petite piqûre, puis plusieurs. Les piqûres devinrent démangeaisons et bientôt le pauvre homme constata non seulement des brûlures sur sa peau mais aussi des trous dans son épiderme, ses muscles et ses os. Il s’empressa de sortir avec célérité de la douche, maudissant l’enfoiré qui avait remplacé de l’eau par de l’acide à retardement.

Jean venait juste de récupérer. Il se coiffait tranquillement quand soudain le peigne lui arracha la moitié de la tête. Il s’avéra que les piques étaient made in Gritche avec en bonus spécial du poison sur les pointes (made in Dim). Le poison en question transforma la cervelle de Jean en une sorte de pâte visqueuse et brûlante capable de dissoudre n’importe quoi à une vitesse très lente. Après de longues minutes d’une souffrance terrible, il ne resta de Jean que quelques restes fumants éparpillés un peu partout. Étant seul à cet instant dans sa demeure et n’ayant rien ni personne pour lui venir en aide, le pauvre homme lutta ardemment pour se régénérer.

Encore une fois, Jean récupéra. Et quand il passa au rasage … en fait le rasoir lui arracha toute matière jusqu’aux os, il s’attaqua ensuite à l’âme de Jean. Le barman n’en revenait pas, comment pouvait-on ainsi s’en prendre à sa personne alors qu’il était chez lui ? Maintenant il était la proie du doute, doute qui bientôt fût remplacé par la peur. Et c’est alors qu’il descendait ses escaliers et qu’il subit une glissade sur une peau de banane sur la première marche, des pics électrifiés sur la deuxième, un bain de lave pour la troisième, une chute de météorites pour la quatrième, l’explosion d’une mine nucléaire à fragmentation dimensionnelle pour la cinquième, une brutale explosion cellulaire sur la sixième, un visionnage de l’intégral des pires émissions de la télé réalité sur la septième, un concert de Jean Pascal pour la huitième, une marche éjectable pour la neuvième et un cactus polymorphe pour la dixième, c’est alors que la vérité fut révélée au bienheureux barman. Il n’était pas chez lui car il n’en avait pas, il n’avait plus et jamais plus il n’en aurait, mais il était dans jeu dont il était le héros, dans un nouveau niveau caché qui devait techniquement parlant lui redonner des points de vie ainsi que des points d’XP pour qu’il passe ses niveaux plus vite. Seulement, l’IA de Gab qui disposait entre autre un sadisme très prononcé envers Jean, s’amusait à transformer les niveaux pour soigner Jean en des enfers infernalement infernaux.

D’ailleurs, le jeu s’empressa d’envoyer le barman vers un autre niveau. Jean faisait face à l’immense Sanctuaire qu’il devait traverser, brasserie après brasserie, pour arriver au palais du Grand Alcoolique. Il allait devoir affronter les douze superpuissants brasseurs d’or pour sauver la déesse de la Bière. Notre courageux ami s’avança, pas très sur de lui, mais il s’avança pourtant. Il avait conscience qu’un devoir sacré pesait sur ses épaules et que seul lui, barman d’exception, serait capable d’accomplir cette quête dangereuse.

Il arriva très vite devant la première brasserie, celle du Bélier. Ne voyant personne il hurla à plein poumon que le brasseur du Bélier était cocu puissance 1000 pour avoir des cornes pareilles sur son armure. C’est alors qu’apparut le défenseur de la première brasserie du Sanctuaire. Très vite, Jean comprit que cette histoire sentait encore plus le pâté qu’il ne l’avait imaginé jusque là, en effet, il faisait face à Thib. Mais Jean qui était sans peur mais avec beaucoup de reproche attaqua avec ses météores du barman, qui, hélas pour lui, ricochèrent sur le Mur de Cactus de Thib. Jean se prit sa propre technique dans la tronche, il fut projeté à plusieurs mètres et il s’explosa joyeusement la tête dans les escaliers. Jean n’eut pas le temps de réagir, malgré son adversaire au sol le brasseur d’or attaqua avec ses plus puissantes techniques : par la mort d’un cactus et le cactus stellaire. L’anus barmanien était déjà très entamé. Sous l’impulsion de la toute puissance de Thib, Jean eut droit à un nouveau vol plané qui l’emmena directement devant la deuxième brasserie, celle du Taureau.

Là, tout se passa rapidement. Jean n’eut pas le temps de refaire sa blague sur les cocus que déjà il se mangeait un Great Cactus et enfin un Cactus Nova de derrière les fagots. Encore une fois le pauvre homme décolla et s’écrasa élégamment comme la loque qu’il était chez le brasseur d’or des Gémeaux.

Cette fois il s’agissait de Dim, qui, accueillit son ami Jean avec tout son savoir faire. Le barman fut envoyé dans une dimension composée exclusivement de cactus avant de lancer une nouvelle attaque, Another Cactus. Un cactus de Cosmos surpassant tous les cactus déjà vus dans cette histoire apparu et se précipita avec célérité vers la fente brisé du pauvre Jean qui hurla de douleur. Compatissant comme à chaque fois, Dim, l’être qui était le seul à avoir de la pitié pour Jean décida de lui venir en aide avec quelques Explosions Galactiques bien placées. Etonnamment Jean n’alla pas mieux mais pire. Dim invoqua alors le Cactus Galactique qu’il fusionna avec l’Another Cactus et là, se fut un spectacle si horrible que même le chef des Jotuids partit la queue entre les jambes en appelant sa mère (et Tirr Mohma). Dim constatant que Jean ne faisait aucun effort, décida d’en terminer. Il envoya Jean vers la Brasserie du Cancer.

Là, notre ami barman goûta aux joies brutales et violentes provoquées par un être des plus sadiques (non, on ne parle pas de Gab). En effet, le brasseur d’or protecteur de cette maison attaqua avec ses Vagues de Cactus puis envoya Jean dans les Enfers des cactus. Là, tous les cactus morts depuis l’aube des temps purent profiter du tavernier à leur guise. Sans comprendre comment, Jean se retrouva dans la brasserie du Lion qui était gardée par Gab.

Comme d’habitude, cet être particulièrement cruel ne fit pas dans le détail, il lança ses attaques les unes après les autres : Cactus Bolt, Cactus Plasma, Cactus Burst. Cette dernière attaque s’avéra horrible, de petits cactus de Cosmos se précipitèrent sur Jean pour l’empaler ainsi que son âme et son Cosmos, puis, ils envoyèrent des décharges électriques et enfin ils explosèrent. Et Gab continuant encore et encore, attaquant toujours plus vite, toujours plus fort, la folie destructrice de barman qui venait d’envahir son corps et son âme le poussait à toujours plus de sévices et de violence. Il n’y avait plus aucune trace de raison dans l’esprit du fou furieux qui envoyait toujours plus de cactus sur le pauvre Jean. Jean était dans un tel état que même un tableau de Picasso semblait représenter quelque chose à côté du pauvre tavernier. Gab le balança à grand coup de pied dans le train vers la brasserie de la Vierge, brasseur qui n’avait pas de cornes, ne pouvant pas être cocu car étant vierge (TRIZZZZZZZ Gollum).

Le brasseur d’or de la Vierge qui était un flemmard professionnel chassa rapidement le pauvre Jean avec la Danse des Cactus Célestes, le Cactus du Ciel, le Châtiment du Cactus et enfin les Six Mondes du Cactus.

Jean arriva alors, quelque peu mal en point, à la brasserie de la Balance. Jean eut l’audace de se moquer de ce brasseur en disant qu’il passait son temps à faire de la délation et aussi parce qu’il était un vieux croûton inutile et une parodie ratée de maître Yoda. Bien sur, notre brasseur d’or ne goûta guère la plaisanterie et l’humour de Jean, il eut vite fait de l’expulser hors de son chez lui à l’aide de sa Colère du Cactus et les 100 Cactus suprêmes de Rozan. Jean, après un énième vol plané et une chute toujours aussi mémorable, atterrit dans la brasserie du Scorpion. Mais avant même de subit les vices de ce brasseur, il y eut un ultime cactus qui arriva depuis la brasserie précédente et qui mena Jean jusque dans l’espace avant qu’il ne réalise une chute dont il avait le secret pour terminer éclater comme à son habitude.

Dans cette brasserie du Scorpion, notre ami tavernier goûta aux joies du Cactus Écarlate. Le brasseur d’or du Scorpion se fit une joie et un devoir de détruire le système nerveux du barman et de lui déclencher une hémorragie comme jamais vue encore dans cet univers. Le pauvre Jean perdit tellement de sang qu’il créa à lui seul une nouvelle Mer Rouge.

C’est alors que Thib, Brasseur du Bélier se téléporta, attrapa Jean et le jeta dans cette vaste étendue de sang dans laquelle il venait de placer des requins dinosaures poulpes piranhas Jotuids. Pour une bonne compréhension de nos lecteurs que nous savons inexistant, il est important de préciser que le pauvre Jean ressortit de ce nouvel épisode de torture et de souffrance TRES mal en point. Le Sarcophage qui était en vacances, en train de bronzer sur la plage renvoya Jean chez les requins quand celui-ci vint le trouver dans l’espoir d’être soigné par cet être à l’âme pure et généreuse. Les docteurs sadiques, eux, clamèrent d’un commun accord que Jean n’avait pas besoin de soins car les gentils petits animaux inoffensifs de Thib avaient selon eux, un savoir faire thérapique inégalable en ce monde.

Après l’histoire des requins, Jean constata avec horreur qu’il était revenu à se position initiale, c’est-à-dire avant toutes les brasseries. En effet, en glissant sur la mer de sang, il avait dégringolé tous les étages. Pas de bol. Il repassa alors avec entrain par toutes les brasseries déjà traversées et il morfla une nouvelle fois. Enfin il arriva, épuisé, à la brasserie du Sagittaire.

Comme Aiolos était absent (il était faire une petite fête chez les Nains), se fut son remplaçant qui s’occupa de Jean : le chef des Jotuids. Jean eut droit au Cactus d’Or, Atomic Cactus Bolt et enfin à la Désintégration Infinie du Cactus Doré et Légendaire. Il est difficile de vous décrire l’effet de cette attaque dévastatrice, mais imaginez un Jean sans sens, sans système nerveux, avec son sang qui gicle plus qu’une femme fontaine au meilleur de sa forme, transpercé de toutes parts, carbonisé à l’extrême et irradié de surcroît. Comment ça comme d’habitude ? Mince, le pire étant que cela est vrai en plus. Bien entendu, l’effet ultime de la technique fût une magnifique explosion désignée feu d’artifice de l’année par le comité des fêtes de la Taverne.

C’est sous la forme d’une petite pluie de particules éparses qu’il arriva à la brasserie suivante, celle du Capricorne (c’est fini, il s’agissait du lieu de mon premier amour. TRIZZZZZZZ Gollum). Et là, le sadisme sans borne qui caractérise les patrons de la Taverne frappa une nouvelle fois. Comme la constellation du Capricorne trouve son origine dans la mythologie grecque à travers d’Amalthée, la chèvre qui nourrit Zeus durant son enfance, les patrons de l’établissement déguisèrent un Jean remit sur pied en légionnaire et après un imperium, une nouvelle programmation des nanites et l’installation d’un libre arbitre truqué, Jean pénétra dans le temple aussi rapidement qu’un typhon, avisa le brasseur d’or et essaya en vain de le violer. En vain, car le brasseur d’or réagit avec célérité et coupa le membre de Jean avec Excalibur. Puis, il dégaina une épée de cactus avec laquelle il découpa le barman en morceau avant de lui enfoncé violemment dans le derrière, et là, il dégaina bien sur une épée de feu et enflamma les tiges vertes dépassants de l’anus de Jean. Inutile de préciser, je crois, que Jean hurla à la mort sa douleur dont tous se régalaient avec une délectation sadique indescriptible.

Pour éteindre l’incendie ravageant le barman, le brasseur d’or du Capricorne appela celui du Verseau. Après un usage bienvenu du 0° absolu, Jean resta de glace. Faut dire que notre ami Verseau, en l’ayant ainsi refroidi, venait de jeter un froid. Et le brasseur d’or du Verseau se décida de la briser (la glace). Pour cela il utilisa à juste titre des techniques qui auraient dû faire plaisir à Jean : le Diamond Cactus, l’Aurora Cactus pour terminer par un magnifique Cactus Coffin.

Constatant avec amertume que Jean ne voulait plus jouer avec lui, le brasseur d’or du Verseau avisa un lance-flammes ionique de la 12e génération en peau de Jotuid renforcée. Sadique au plus haut degré (étrange pour quelqu’un qui a le fantasme du 0 absolu), il mit feu au Cactus Coffin. C’est un Jean enfermé dans ce cercueil de Cactus enflammé qui en courant gagna la brasserie suivante : celle du brasseur d’or des Poissons.

Là, Jean goûta à la joie des Cactus Démoniaques, Piranhas (encore) et Sanguinaires (croisés avec des Jotuids, oui, ça fait très mal). Mais Jean eut de la chance, car le brasseur d’or des Poissons fut subitement attaqué par un Gollum dont l’estomac était affamé, et le barman en lâche qu’il était en profita pour passer en douce. Hélas pour lui, il fut obligé de traverser une forêt de cactus pour gagner la dernière brasserie, celle du Grand Alcoolique qui se révéla être Vince.

Là, Jean passa du désespoir le plus profond à la colère la plus intense. Alors que Vince rigolait en se remémorant les différentes mésaventures du barman, ce dernier avisa la déesse de la Bière, un vase grec, et la scella dedans. Jean se laissa aller, un rire sadique s’éleva dans la bâtisse alors qu’il ajoutait une option torture au sein du vase. Scellée, torturée, la déesse de la Bière était en mauvaise posture. Là, Vince sentit quelque chose se casser en lui. Pour une nouvelle et énième toute première fois dans son existence, il sentit la rage monter en lui, avoir raison de sa raison, peu à peu les ténèbres l’envahirent et Vince laissa place à sa double personnalité maléfique. Il invoqua tout d’abord l’Ebony Cactus Vortex. Une tornade de vent noir envahie de cactus se précipita sur Jean avec une célérité supérieure à un pervers se précipitant sur une japonaise se masturbant dans un onsen. Non seulement les vents violents, bien plus que ceux des tempêtes d’Arrakis (selon le comité scientifique de la Taverne) éparpillèrent Jean aux quatre vents (c’est le cas de le dire), mais en plus les cactus les empalèrent joyeusement. Puis les vents devinrent flammes, les cactus prirent feu et les reste de Jean également. Enfin, les vents reprirent pour ouvrir un passage vers la dimension de la souffrance infinie bien pire que celle que tu peux ressentir dans le musée du sadomasochisme pour les experts de la douleur hardcore. Vince fût ovationné par une foule en délire, qui, experte, avait apprécié comme il se devait, un si ravisant et innocent spectacle.

Devant l’état déplorable de Jean, les docteurs sadiques décidèrent d’user sur lui des techniques de soins des chevaliers. Ils l’envoyèrent depuis la stratosphère, directement dans le cratère d’un volcan de type explosif en pleine éruption. La nuée ardente engloutie Jean qui disparut tout simplement. À la surprise générale, Jean n’alla pas mieux mais pire. Les docteurs sadiques clamèrent que là, malgré toute leur maîtrise, il ne pouvait plus grand-chose pour le barman. Les patrons de la Taverne durent envoyer une mission diplomatique auprès du Sarcophage des Anciens, alors en pleine plongée et contemplant les beautés des récifs coralliens, pour le convaincre de soigner Jean. Un seul argument parvint à faire changer d’avis le Sarcophage qui profitait de ses vacances, si Jean était régénéré, il pourrait de nouveau morfler quelque chose de bien. Alors que toutes et tous attendaient avec impatience le début du prochain niveau du Jeu dont Jean est le héros, le prêcheur des Oris, lui, officiait comme à chaque auprès de quelques nippones encore plus enflammées qu’un phénix au meilleur de sa forme, le tout à la fameuse position légendaire du poulpe unijambiste joueur de mambo chassant le panda géant un soir de pleine lune dans le Tibet Oriental exilé au Pérou. Nous vîmes aussi passer Gollum, tenant dans ses bras chétifs Le piratage informatique pour les nuls, gentiment offert par maître Zen qui venait juste de créer la guilde anti-barmans.

Les patrons de la Taverne, profitèrent de cette pause bien méritée dans les tortures barmaniennes, pour profiter des charmes de leur(s) favorite(s) et/ou de quelques autres jeunes femmes, bien décidées à s’offrir à leurs dieux, telle une offrande. D’ailleurs, Dim et Ai profitèrent d’un instant d’inattention généralisée pour s’enfermer tous deux dans la salle de contrôle des souffrances de Jean. Comme le nom l’indique, cher lecteur absent, là était la salle depuis laquelle les patrons contrôlaient les divers mécanismes permettant de joueur avec le tavernier. Mais vous vous doutez bien, qu’à cet instant précis, que toutes ces choses n’intéressaient guère les deux amants. Adepte de la technique de la fusion, mais d’une manière particulière, ils ne perdirent pas de temps (sachant quand même savourer les préliminaires). La suite, vous la connaissez, du moins plus ou moins. Certes, Ai sous l’action toujours aussi dévastateur du plaisir offert par son amant de génie, particulièrement au moment final du GRAND COUP DE REIN, par quelques coups de pieds actionna ou détraqua divers mécanismes. Mais là, pas de Malheureux Concours de Circonstance, et non, ce dernier ayant attrapé la peste rose verte claire, se soignait en se plaçant dans le barman pour lui transmettre la maladie. Toutefois, les actions de Dim et Ai modifièrent quelques éléments de programmation. Ainsi Jean passe en mode « recherche de déboire intensif pour en prendre plein la poire » et l’IA qui gérait le Jeu dont Jean est le héros, elle, passa en mode « ultra sadisme, méga souffrance et pulvérisation totale ».

À cet instant précis, le Singe se trouva être téléporté dans le Jeu dont Jean est le héros. Il se retrouva dans la jungle, bien connue de Jean, mais celle-ci semblait spéciale. Le pauvre primate, attaqué par des lianes qui cherchaient à l’immobiliser, tenta des esquives d’une folle hardiesse. Toutefois, l’eau, la terre et même le vent semblaient chercher à l’immobiliser également. Encerclé par une rangée d’arbres, tenu par des lianes, les pattes enfoncées dans un sol qui venait juste de retrouver sa solidité, il entendit alors un hurlement qu’il craignait par-dessus tout : « le singeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee ». Gollum surgit depuis les hauteurs, arrachant d’un geste rageur son pagne et sentit une douleur terrible. Là, il fit le constat suivant : en arrachant son pagne avec violence, il avait aussi arraché ses attributs. C’est alors que le Singe fusionna son esprit avec l’IA qu’il reprogramma pour pulvériser la créature grise. Gollum disparut dans des sables mouvants carnivores.

Jean, qui venait juste d’être expulsé du Sarcophage, constata avec une joie immense qu’il avait été en fait jeté depuis le haut d’un immeuble de 158541236987854125369875521000235698745512365892000 étages. Toutefois, après une énième chute, il eut la chance de l’amortir dans une rivière d’acide. À peine entamé car n’ayant rien mangé dans sa tête de vicieux, il remarqua qu’il se trouvait dans une ville futuriste envahie par la plus grande menace extraterrestre n’ayant jamais existée : les Bisounours. Ces derniers s’étaient transformés en ours garous berserkers du chaos du côté obscur. Très vite, les forces armées, les Avengers ou encore les supers guerriers de l’espace furent annihilés et seul resta Jean pour défendre la cité. Un costume de super héros le recouvra, il était devenu Super Barman. Sans savoir pourquoi, une raison le poussait à attaquer les ours garous berserkers du chaos du côté obscur. Il y eut maints assauts et maintes pulvérisations (et pas que par la lumière). Le moment le plus intense fût le retour du tavernier dans la Taverne (il est toujours dans le jeu), là il affronta à lui seul les forces ennemies pour permettre aux clients de fuir. Terminant dans un état pas possible, il parvint à juguler la menace Bisounours après des jours et des jours, qui faisaient des semaines et des semaines, qui faisaient des mois et des mois etc d’une lutte acharnée, Jean avait triomphé. Et là, se fût l’incompréhension mais surtout le moment de gloire. Les clients portèrent en triomphe le barman en sang, l’ovation de la foule en liesse qui hurlait « Jean, toi meilleur » alla droit au cœur d’un être qui avait pourtant perdu le sien pendant la bataille. Il crut halluciner quant il admira un temple avec des statues à son effigie. Ses patrons s’agenouillèrent devant lui, offrant même leurs favorites à notre grandiose héros qui fût même décoré des mains de Vince lui-même.

Et là, c’est le drame. Jean, bien que proie au doute, finit par croire tout ce qu’il voyait et vivait. Tout d’un coup, un petit rire se fit entendre, puis, tous commencèrent à rigoler, comme pour se moquer de Super Barman. La médaille remise par Vince se transforma subitement en cactus, qui s’empressa d’aller pourfendre l’anus barmanien. L’homme hurla puis, constata avec horreur, que tous les clients de la Taverne possédaient un stock de cactus et de lance-flammes ionique toutes options et meilleure génération. Se fût une magnifique communion de torture. Tout y passa, du plus artisanal au plus gore. Lapidations, supplice de la roue, pendaisons, bûchers, noyages, écartèlements, cactus, lance-flammes, bombardements divers, dimensions diverses etc. Car tel était le mode « ultra sadisme, méga souffrance et pulvérisation totale » de l’IA du Jeu dont Jean est le héros.

Le comité des fêtes de la taverne déclara cet instant « d’amusement du millénaire ». La foule se déchaîna comme jamais avec une étrange délectation cruelle sur un pauvre homme qui termina dans un état si lamentable qu’il serait vain pour moi de tenter de vous le décrire. Après cet instant magique, d’une innocence à ravir Familles de France, les clients prouvèrent leur reconnaissance éternelle à leurs biens aimés patrons et divinités. Nos glorieux héros portés en triomphe, reçurent les grâces de la part d’une multitude de jeunes femmes dénudées, qu’ils menèrent après quelques rodéos, dans une certaine maison close afin de continuer à profiter des charmes d’une grâce plus gracieuse que la grâce elle-même.

Noël mes amis. Oui, noël. Sans doute la fête la plus féerique de l’année. L’instant le plus magique. Tout est là pour apporter cette magie, cette ambiance si particulière, cet apaisement si profitable à nos esprits. Que ce soit la neige qui virevolte avec lenteur avant de recouvrir le sol avec son manteau d’une blancheur si lumineuse, les papiers et les rubans, de petites lueurs qui s’élèvent pour réchauffer nos cœurs, les arbres dressés et décorés avec cette odeur de forêt qui s’invite jusqu’au cœur des demeures ou encore, un sang écarlate et chaud qui s’écoule d’un corps gisant dans la neige, plus ou moins calciné et un sapin à moitié enfoncé dans l’arrière train encore fumant. Quelle belle scène mes amis, si proche de l’esprit de noël. Et voyez, voyez ces enfants qui trépignent à côté du pauvre homme gisant, grimaçant, pleurant sa douleur. Regardez les ces innocents enfants, qui, s’apprêtent à jeter leurs pierres encore plus aiguisées que les piques du Gritche sur le tavernier déjà si malmené. Et que dire de leurs parents, qui regardent avec un amour indescriptible cette scène d’innocence, de partage et de communion. C’est alors que surgissent les Cactus qui commencent à se prendre la tête avec le sapin, ces premiers disant qu’ils ont le monopole exclusif d’annihiler le derrière de Jean. Alors le sapin appelle les siens ainsi que les Ents. Une terrible bataille s’engage pour désigner qui des deux camps est le plus disposé pour cette noble tâche emplie d’une pureté céleste, celle de torturer jusqu’à plus soif un infortuné Jean. Un énième concours de plongé anal débute alors. Alors que les sapins, les Ents et les Cactus s’amusent comme des petits fous, les soles cogneurs arrivent pour être de la fête. Cela était sans compter les acacias mutants de Thib qui, avec des épines rotatives géantes avec un cocktail multi-empoisonné et au sadisme très prononcé, sans oublier également quelques plantes carnivores toujours présentes dès qu’il s’agit de jouer avec le tavernier. Bref, un instant magique, une véritable communion avec la nature et une boucherie sans nom devant les sourires d’enfants des clients de la taverne.

Quand le massacre prit fin, les patrons de la taverne pénétrèrent les lieux. Gab, constatant que Jean faisait la sieste au lieu de travailler, allant jusqu’à faire croire qu’il était blessé pour avoir une excuse à faire valoir à ses employeurs, décida comme ça, sans raison, innocemment, de lui apprendre. Aussitôt pensé, aussitôt fait. Gab avise les restes de Jean et les attaque sans la moindre pitié. Il commence par les Excalibur mortelles enchaînées puis, il opte pour l’écartèlement de chaque atome du barman. Puis, il s’arrêta là. Alors que les restes du tavernier partaient en quête du Sarcophage des Anciens, Gab le mit en garde :

- La prochaine que tu glandes au lieu de bosser, je passe aux châtiments corporels !

Jean trouva le Sarcophage en pleine discussion avec les Docteurs Sadiques. Malgré un cœur plein d’effroi, il n’avait pas le choix, il devait grimper dans le Sarcophage pour se régénérer et ainsi reprendre son travail dans la joie et la bonne humeur. On ne sait pas trop comment mais il y parvint. Mais le Sarcophage l’expulsa violement une fois la régénération terminé, il termina sur un arbre de la douleur de noël dont les boules étaient en fait des grenades atomiques à fragmentation que Dim avait égaré là. Les guirlandes elles, se révélèrent être polymorphes et se transformèrent en Hydre qui attaquèrent avec une férocité digne de Vince, les restes d’un Jean empalés, atomisés et déchiquetés. Devant un tel spectacle d’horreur gratuite, Thib porta plainte contre un Jean qui embêtait ses créatures. Bien entendu, le tribunal de la Taverne qui était connu pour son grand sens de la justice, reconnu Jean comme coupable. Thib eut droit de décider de la peine à infliger au barman. Il décida que Jean devait affronter une légion entière d’ours polaires volant cornus à poils brillant. Ces animaux attaquèrent tout d’abord un Jean prenant la fuite avec des griffes et des piques de glaces puis, ils terminèrent par un jet glaçant surgissant de leur gueule. C’est alors que le familier de Dim, Smaug, surgit et voyant cela, cracha ses flammes sur un tavernier transformé en glaçon. Mais les ours polaires volant cornus à poils brillant, mécontent, gelèrent de nouveau le pauvre homme qui après, subit une nouvelle attaque de Smaug etc. Cette séance de torture dura des heures et des heures et des heures, sous le regard approbateur d’une Roxana qui ne résista pas à entrer dans la dance comme Calcifère ou Camus du Verseau. Bien d’autres encore, ayant des dons pour manier la glace ou le feu, arrivèrent les uns après les autres. Gab reconnut que cette fois, Jean se surpassait pour distraire les clients en période de fête, un tel de soi-même étant exemplaire, il décida alors de réduire encore le maigre temps de repos de son employé qui, aimait tant son travail comme tous le constataient à l’instant. L’affaire se termina quand Thib lâcha dans la mêlée une chèvre de combat berserker qui, envoya valser le tavernier à l’autre bout de l’univers.

Le temps que Jean se remette de ses émotions, nous aperçûmes le prêcheur des Oris officiant auprès de quelques touristes japonaises, usant la légendaire position du Père noël bouddhiste terroriste sadique cannibale cueillant des violettes dans la forêt et caressant des poneys. Nous aperçûmes aussi un Gollum qui, après avoir consulté de nombreux ouvrages sur la mythologie et les monstres mythiques, commençait à apprendre l’art de la fusion auprès de Goku et Piccolo.

C’est alors que Vince commanda une bière de noël. Un grand silence se fit. Tous les regards se braquèrent vers la table du grand seigneur des alcooliques et vers un Jean qui déjà, arrivait avec un tonneau. Là, les nanites s’activèrent. Une fois le tonneau ouvert et devant Vince, Jean commença une nouvelle action pleine d’une folie fanatique et d’une hardiesse incroyable. Tout d’abord, il fit bouillir de la Red Bull et la déversa dans la bière avec une bonne dose d’huile de palme. Il ajouta par la suite des colorants et des conservateurs reconnus comme toxiques et cancérigènes ainsi qu’une substance donnant à la bière un goût fumé de barbecue. Puis, comble de l’horreur, il attacha un Potala au tonneau et un autre à son oreille et il fusionna littéralement avec le contenu. Là, l’ami Vince, sentit monter en lui, pour une inédite toute nouvelle première fois une rage folle. Il commença par extirper l’essence du barman de la solution infâme par la distillation puis, en collaboration avec Dim, il se lança dans la reconstitution de séances de tortures médiévales. Il opta pour une poire de l’étouffement qu’il introduisit dans le rectum du tavernier. Grâce au système de vis, il élargit les segments et ainsi, grâce aux dents de l’instrument, déchira les intestins. Puis, pour rester dans la même thématique, il s’empara d’une manivelle intestinale. Il attacha sa victime conscience à une table et effectua une incision au niveau de l’abdomen. Il plongea sa main dans le corps pour attraper un bout d’intestin. Séparé de l’estomac, l’intestin grêle de Jean fut fixé par Vince à un crochet, lui-même relié à une manivelle. Et Vince tourna lentement cette manivelle, retirant ainsi l’intestin du corps du supplicié, femtomètre par femtomètre. La douleur était extrême et le sang qui s’écoulant du corps jaillissait à flot. Mais Vince n’en n’avait pas terminé. Il fit en sorte que Jean soit en état d’érection puis, il saisit des cisailles crocodiles. L’intérieur, en forme de tube et empli de pointes, était en fer. Il chauffa au rouge l’instrument et saisit la verge du pauvre homme et tira avec une sauvagerie telle, qu’il arracha l’appareil génital et une toute une partie du corps du barman. Vince laissa choir l’instrument. Maintenant qu’il était enfin échauffé, il allait pouvoir passer aux choses sérieuses. Il commença par arracher la peau et les nerfs de Jean avec les dents avant de fouetter les muscles avec des fils barbelés et réduire la colonne vertébrale du tavernier avec un acide sadique d’une lenteur à peine descriptible. Soignant le barman, il enfonça ses mains dans sa chair et libéra des éclairs avant de balancer un Lighting Vince directement à l’intérieur. Une grande partie de la victime fut réduite à l’état de morceaux carbonisés alors que Vince usait d’un Photon Burst Exclamation par quark de Jean.
Pendant ce temps, Dim ne cessait d’embêter le monde avec Sol Invictus et non noël. Afin de faire une démonstration, il décida d’égorger un taureau comme la tradition l’exigeait. Il attrapa le premier taureau venu et l’égorgea usant d’une rare violence et le sang gicla. C’est alors que Dim remarqua que le taureau était en fait Jean, déguisé ainsi par les Docteurs Sadiques, après une séance de soin. Le sang qui avait giclé se retrouva dans la choppe de bière de Vince, qui, ulcéré par cette nouvelle ignominie du tavernier, il le transmuta en grenade, le dégoupilla et l’envoya au loin. Il explosa dans un lac d’hydrocarbure et brûla pendant des heures et des heures et des heures. Mais Dim, sauva le barman en éteignant l’incendie une fois que ce dernier se soit éteint de lui-même.

Après toutes ces petites distractions, l’heure arriva de fêter les 24 et 25 décembre comme il se devait. Les tables qui avaient été dressées par Jean et explosées sur sa tête par Vince, furent recouverte de plats aussi divers que variés, aussi riches que succulent. Jean se démenait pour assouvir les demandes de chacun en plus de se manger des attaques de la part de toutes les personnes présentes. Le pauvre homme ne connu pas le moindre instant, aussi minime soit-il, de repos. L’ambiance était vraiment festive, notamment avec Gollum qui chantait ses chants de noël revisité par ses soins avec des titres comme Saint Ouistiti, Le divin Orang-outan, Mon beau Babouin, Petit Gibbon noël etc, le tout protégé par les Nazguls super guerrier et pilote de Gundam, car le Singe et ses légions voulaient pulvériser le chanteur. Ne pouvant le faire, le Singe passa ses nerfs sur un Jean passant par là et qui, s’amusait à mettre un masque de Gollum et avec une banane entre les jambes, à faire des mouvements de va et vient le tout, en tenant un portrait du Singe.

Arriva l’heure des cadeaux. Jean se surpassa. Il offrit à Smaug une flèche noire pouvant terrasser les dragons ainsi qu’un livre sur les 100 000 plus belles morts de dragons. À Thorain, il offrit le livre sur La pauvreté et la générosité chez les Nains. Pour Gab, il lui remit un billet pour le dernier spectacle d’Arthur. Pour Vince, une tournée mondiale des meilleures sources thermales, pour Thib les corps empaillés de ses familiers ayant disparus depuis le début de l’année et pour Dim, l’ensemble de l’œuvre de Laurent Deutsch en histoire. Pour le Singe, des revues pornographiques avec que des photographies de Gollum. Bref. Du lourd. Le Singe commença le premier. Il provoqua à Jean, une allergie de son propre sang. Il faut avouer, se fut burlesque. Puis ensuite, Dim passa à l’attaque. Il ne trouva rien de mieux que de noyer Jean dans la bière pour énerver un peu plus un Vince déjà bouillant de colère. Alors Vince enchaîna avec des fils en adamantium forgé dans la Montagne du Destin par Sauron lui-même. Thib redonna la vie à ses familiers qui étaient tous des carnivores sadiques ultra violent haïssant les barmans. Enfin, Gab acheva le travail en transformant les vêtements de Jean en une matière corrosive. Par la suite, Jean subit aussi quelques amusements de la part du père noël sadique avec des cadeaux explosifs et ses nains bourreaux et des rennes qui lancèrent le tavernier dans une immense cuve de matière fécale dans laquelle il coula et se noya après des heures d’une lutte aussi âpre qu’inutile sous le regard amusé du baron Harkonnen qui rigolait et applaudissait.

Le Sarcophage qui venait de mettre minable Jean-Louis Borloo, régénéra Jean d’une manière totalement aléatoire. La tête dans l’estomac amusa particulièrement la foule qui, fit une pause pour la voir se faire digérer. Précisons toutefois que l’estomac digérait encore moins vite que le Sarlacc. C’est alors que Gollum profita que le Singe soit bien imbibé pour invoquer le Kraken et fusionner avec lui. Une créature étrange vit le jour. Imaginez un Kraken en pagne avec ses 108 tentacules se terminant par des têtes de Gollum qui hurlent toute : « le singeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee ». Cependant, avec les tentacules il arriva à saisir le Singe, l’immobiliser, le dévêtir. Cette fois, Gollum sentit qu’il pouvait enfin y arriver, après des mois et des mois d’une lutte acharnée. Cependant, le Singe qui était toujours aussi puissant, et n’appréciant guère les quelques tentacules qui déjà lui rentraient dans son derrière, décida d’imiter Végéta dans son combat contre Boo. Le Singe qui, avait fait l’ascension rappelons le, laissa son corps qui explosa d’une manière cataclysmique alors que son esprit lui, s’en allait tranquille vers d’autres cieux.

Dim et Ai avaient profité des derniers événements pour s’en aller tranquillement. Tous deux, s’en allèrent dans une nouvelle salle de contrôle, celle de la génératrice de tornades, typhons, cyclones et autres tempêtes en tout genre. Pendant ce temps, Jean faisait son lourd en draguant quelques clientes bien pourvues par dame nature. Dim et Ai, comme à leur habitude, s’empressèrent de se débarrasser de leurs vêtements pour se donner l’un à l’autre. Sous les vagues d’un plaisir croissant et incessant, arriva l’instant maintenant traditionnel du Grand Coup de Rein. Par un Malheureux Concours de Circonstance passant par là, Ai actionna le mécanisme qui avait été préalablement réglé sur Jean et pour créer toutes les tempêtes. Jean se mangea donc tornades, typhons, cyclones etc. Littéralement, dans son exercice de drague, il se mangea quelques vents.

Comme la fête devait encore durer plusieurs heures, nos héros, portés en triomphes, délivrèrent leur enseignement auprès de jeunes femmes dans la Taverne puis, se furent les dames du Bordel qui vinrent les retrouver, histoire de changer.

Le 25 décembre s’acheva par une Battle Royale avec Jean contre tous les clients de la Taverne. Le pauvre homme, une fois proprement annihilé, demanda auprès des Docteurs Sadiques leurs bons soins. Récemment, les Docteurs Sadiques venaient juste d’embaucher le Grand Maître Goa’uld Ba’al. En effet, selon les dires des Docteurs Sadiques, Ba’al avait un don pour soigner en usant d’acides, de diverses matières corrosives et de poisons. Bien entendu, Ba’al contribua pour beaucoup dans l’absence de guérison d’un Jean, qui, ne faisait aucun effort pour se remettre. Les Docteurs Sadiques firent leur rapport aux patrons de la Taverne, expliquant à ceux-ci, que malgré leurs bons soins, Jean faisait tout pour retarder sa remise sur pied. Gab n’apprécient guère la félonie et la flemmardise de son barman, décida alors de le châtier comme il se devait. Il appela à lui tous les cactus présents dans tout l’espace-temps, réalisa le plan de complémentarité des cactus et enfourna un cactus-ange géant dans l’anus du tavernier. Mais, dans ce cactus-ange géant, il y avait un cactus qui pouvait décider de conserver les cactus sous une forme unifiée ou une forme dispersée, comme ils étaient à l’origine. Bien entendu, ce cactus décida de redonner aux siens une forme individuelle pour chaque cactus ayant existé et le cactus-ange géant laissa place, toujours dans l’anus de Jean, à une infinité de cactus avec tous les raffinements dont Jean avait l’habitude. Gab, Dim, Vince et Thib, armés de lance-flammes ioniques et en ayant distribués à chaque client, se fut une mer de feu qui s’abattit sur un Jean ô combien reconnaissant.

Après ce petit divertissement innocent, les Docteurs Sadiques reprirent leurs soins pour guérir un Jean étonnamment mal en point. Après une séance de massage par invocation de pluie de météorites, les Docteurs Sadiques peinèrent à retrouver les restes du tavernier qui, en avait encore profité de la dite situation pour ne rien faire. Gab demanda à Dim de faire bon usage de ses connaissances en médecine pour rafistoler Jean. Dim et les Docteurs Sadiques lancèrent l’opération Remise en Forme d’un Barman Récalcitrant. Ils commencèrent par griller la langue de Jean qui, enfla dans sa bouche et l’étouffa. Ils placèrent ses mains sur des enclumes et appelèrent des maîtres forgerons Nains pour que ceux-ci massent les mains avec leurs masses. En vain. Jean n’alla pas mieux. Il fut plongé la tête en bas dans un tonneau d’urine d’Aliens. Il fut scié, grillé, rôtit ou empalé. On le força à se nourrir de sa propre chair rendue impropre à la consommation, il fut pendu avec ses tripes. Mais Jean était tellement résistant aux soins que lui apportaient ces humanistes incompris, que Dim décida finalement d’user d’un sort de régénération provenant de la magie foireuse. Jean se retrouva avec son squelette à l’extérieur de son corps, avec son sang qui passait par les poumons comme l’urine et les sucs gastriques avant de repartir dans tout le corps, emportant avec lui ces autres éléments dans les organes. Le pronostique des Docteurs Sadique tomba : Jean était enfin en pleine forme, il pouvait œuvre dans la joie et la bonne humeur. Gab félicita les Docteurs Sadiques et son petit frère en les décorant de la médaille du mérite de la torture barmanienne.

Vince, constatant que Jean était enfin disponible, qu’il avait enfin cessé de flemmarder, commanda une bière. Avant de passer commande, il prit soin de préparer ses armes et autres instruments de monstruosité sadique annihilateur de tavernier. Jean, sous l’action des deux lots de nanites présentes dans sa tête, se surpassa comme jamais. Pour commencer en douceur, il chauffa la bière en jetant des rictus moqueurs à un Vince qui se délectait de sa colère à venir. Puis, une fois la bière bouillante, il urina dedans avant de déverser de la téquila, de la sauce tomate, de la mayonnaise avariée, des lambeaux de chair de momies, des champignons toxiques et hallucinogènes, plaça le tout devant le pot d’échappement d’un camion tout en y ajoutant un peu d’hydrocarbure, d’eau de source, l’exposa à divers rayonnements aux effets inconnus, l’irradia avant de changer le vrai de ce verre pour le nommer grosse merde pour un être hideux qui pue la mort. Il fouetta les molécules, les atomes et les quarks de la bière avant des les déchiqueter avec une Excalibur ténébreuse qui ôta à la bière toute son essence divine. Il continua avec l’ajout de produit vaisselle, de carburant pour fusée, d’un annihilateur d’alcool, de vomis de Gollum, de bile de Balrog et d’excrément de dragon. Fier de son œuvre, il s’en alla donner le verre à un Vince qui, bien que mentalement préparé, n’avait pas anticipé une monstruosité. Il sentit monter en lui toute la force de sa haine pour une énième inédite toute première fois. Il saisit de grands mange terre pour les enfoncer avec rage dans le rectum d’un tavernier qui reprenait tout juste ses esprits, les nanites le laissent affronter seul la colère d’un Vince au meilleur de sa force. Les manges terre firent des ravages dans le corps d’un barman, avant de ressurgir par la bouche, les yeux ou les oreilles. Jean, déjà proprement éclaté sur le sol, fut ensuite recouvert de son immonde mixture par un Vince qui déjà préparait la prochaine étape de son supplice. La mixture eut des effets amusants sur le pauvre Jean. Ses organes enflèrent dans son corps avant d’éclater. Sa peau se craquela et appela dans l’organisme, toutes les maladies qui existaient dans l’univers. Puis, l’organisme commença peu à peu, à se liquéfier. Vince força Jean à s’auto-boire, histoire de lui apprendre. Mais la mixture avait rendu Jean allergique à lui-même. Outre des pustules clignotantes qui, en éclatant, recouvrait le pauvre homme d’un liquide encore plus corrosif que le sang des Aliens, elles provoquaient des transmutations aléatoires. Pour vos donner quelques exemples, un moment la peau s’enflamma. Le feu toucha le reste de Jean, et là, la peau devint de l’eau. Puis, après, le corps devint un amas infâmes de liaisons moléculaires aléatoires, et souvent le lien entre les molécules se brisait pour ensuite reformer de nouvelles liaisons encore plus étranges. Mais Vince n’en n’avait pas terminé. Il commença par transformer quelques parties d’un Jean déjà très malmené en volcans, puis, il actionna des tremblements de barmans au lieu de tremblements de terre. Il continua en dispersant l’âme du tavernier entre les dimensions avant de la reconstituer, de la distiller et de l’offrir en boisson au chef des Jotuids qui apprécia ce cadeau. Il empala les restes difformes du barman sur un arbre de la douleur planté dans les marées temporelles des Tombeaux du Temps. Dim qui faisait exprès d’avoir une mauvaise maîtrise des flux temporelles, Jean connut certaines tortures passées et futures. Puis, Vince annihila purement et simplement l’espace-temps dans la zone où se trouvait Jean. Enfin apaisé quelque peu et pour quelques instants, il s’en alla ruiner la cave histoire d’embêter Gab, déjà il pensait accuser Jean pour lui faire porter le chapeau.

Les Docteurs Sadiques parvinrent à recoudre les restes de l’âme de Jean avant de la placer dans un nouveau corps prêté par Gab. Pendant ce temps, alors que Thib était dans son laboratoire pour préparer la fuite d’une nouvelle créature complètement improbable, le prêcheur des Oris lui, attaquait l’intimité d’une ravissante nippone avec la position du vase ming allergique à la transpiration d’un Hutt en bikini lors d’un congrès de religieux athées sur Hoth. Alors que Jean reprenait le travail, Thib surgit terrifié en annonçant qu’une de ses créatures s’était enfuie de son laboratoire qu’il avait laissé ouvert et sans sécurité aucune. Nous vîmes bientôt une sorte de canari géant ayant 34 yeux, 5 bouches avec 34 rangées de dents pointues et plus aiguisées que celles des Jotuids, des tentacules, des branches avec des feuilles, des bras griffus et des jambes massives pour supporter le tout. Tous évacuèrent ou se cachèrent, abandonnant Jean immobilisé par Gab, face au monstre. Le canari génétiquement modifié se dupliqua et attaqua Jean de toutes parts. Il dévora le barman vivant tout en absorbant sa force vitale, en le griffant, le déchiquetant, sautant dessus comme un sadique en modifiant la gravité etc.

À peine Jean était de nouveau opérationnel qu’il goûta l’attaque de Smaug et Thorain ayant fusionnés. Imaginez, un dragon barbu qui manie des haches tout en carbonisant sa victime, hilarant n’est-ce pas ? Les Docteurs Sadiques en ayant marre de taffer comme des malades, envoyèrent bouler les morceaux de Jean qui tentèrent de gagner le Sarcophages des Anciens qui se dorait la pilule sur l’une des plages de la Taverne. Le Sarcophage piétina les restes du tavernier avant de les envoyer valser à la mer tout en appelant à lui les serpents de mer, krakens, sirènes adeptes de la chair humaine et autres monstres marins. Le spectacle ne fut guère interrompu, malgré un Gollum surgissant avec célérité et enlevant son pagne dans l’espoir d’abuser de quelques unes des créatures ici présentes. Mais si ce dernier ne parvint à satisfaire son fantasme du moment, il revint intact sur la plage tout en se moquant d’un Jean complètement explosé. Enfin tranquille, le Sarcophage reprit sa séance de bronzage.

Gollum, mécontent car n’ayant pas eu l’occasion de tremper son biscuit, commença à réfléchir à un nouveau plan pour avoir le Singe. Alors que le musée de la torture et des sacrifices Siths ouvrait ses portes, Jean fut automatiquement téléporté dedans. Une foule immense pénétra les lieux, découvrant avec ravissement toutes les horreurs jadis imaginées par les adeptes du côté obscur de la Force. Alors que Dim et Ai s’en allaient s’enfermer dans une salle remplie d’holocrons Siths. Alors que les deux amants se déshabillaient avec la Force, ils purent rapidement s’offrir l’un à l’autre. Tous deux usèrent de leurs nombreux sens, de la magie, du ki et de la Force pour augmenter un plaisir déjà ravageur qui les submergeait encore et encore. Mais l’usage de la Force, en présence de nombreux holocrons Siths, et d’un tavernier pas si éloigné que ça, on commence à deviner la suite. Alors que les holocrons s’activaient au moment du Grand Coup de Rein sous l’impulsion d’une vague de Force envoyée par Ai, par un Malheureux Concours de Circonstance, toutes les actions néfastes des artefacts furent détournées sur Jean. Électrocution, carbonisation, modifications génétiques foireuses, étranglement, étouffement, attaques mentales, déchirures, transformation des midi-chloriens de Jean en des créatures autonomes à la faim ne pouvant pas être assouvie, voilà quelques unes des souffrances que Jean eut la chance de savourer dans ce musée. La structure moléculaire de Jean fut altérée et modifiée, devant parfois tranchante, parfois inanimées (les organes par exemple). Finalement, le barman fut emporté par une tempête de Force qui le dispersa un peu partout.

Alors que le Singe, isolé dans le musée, entrait une salle exposant les différents moyens qu’utilisaient les Siths pour asservir mentalement d’autres personnes, il subit une attaque mentale surprise qu’il ne parvint pas de suite à contrer. Il sentit une part de lui-même changer, comme s’il oubliait certaines choses et que des pensées lui étaient imposées. Sa résistance mentale ne cessait de diminuer quand surgir Dark Gollum, nouvellement initié aux arcanes du côté obscur (mais pas encore celui du Singe). Dark Gollum arracha sa cape noire et son pagne en peau de Rancor. Il força le Singe à se mettre à quatre pattes au sol, puis, il chargea, prêt à empaler sa victime mais pas avec un sabre laser. Mais le Singe était très puissant dans la Force, et au dernier moment il parvint à rompre le contrôle mental de Dark Gollum qui aussitôt recula et appela à lui son sabre laser. Alors que le Singe s’apprêtait à passer à l’attaque, il vit disparaître son assaillant. Il fut alors encerclé par une multitude de Dark Gollum, multitude apparaissant comme par magie. Le Singe reconnut aussitôt l’usage de la magie de l’illusion. Gollum avait feint sa disparition ainsi que l’apparition de nombreux lui-même. Le Singe, qui n’était pas dupe, commença à se protéger par une bulle de Force avant d’envoyer une vague de Force dans toutes les directions. Les illusions disparurent et Dark Gollum disparut dans le lointain et termina sa course par un plafond crevé et une piscine d’acide.

Alors que les patrons de la Taverne se retrouvaient, Jean les attaqua subitement avec un quintuple sabre laser qu’il avait volé dans le musée. Gab, Dim, Vince et Thib rigolèrent. Par la Force, ils imposèrent à Jean quelques folies dans lesquelles il allait déguster grave. Gab par exemple, força Jean à attaqua les enfants du chef des Jotuids dans les buts de les découper en morceaux, sinon de les violer. On l’imagine fort bien, les Jotuids n’apprécièrent guère la plaisanterie et tous chargèrent le tavernier en usant d’une attaque nommée : la danse folle des Jotuids incontrôlables et sans pitié. Dim lui, força Jean à masser le Gritche, avec les mains et pas seulement. Vince lui, fit en sorte que Jean attaque les buffles du Tibet dans le but de les transformer en carpette et Thib lui, invoqua par la Force un Rancor Sith catcheur bourreau et psychopathe pour qu’il s’occupe avec gentillesse et bienfaisance du barman.

Devant cette série d’actions, pleine de prouesse et de légende, la Légende et la Prouesse portèrent en triomphe nos glorieux héros auréolés de leur sapience céleste, le tout vers leurs temples. Là, ils allaient pouvoir enseigner la Force mais dans un usage très particulier auprès de gentes demoiselles dénudées. Enfin, après cette leçon qui dura des heures et des heures et des heures, ils partirent se ressourcer dans l’intimité des dames expertes du Bordel.

Ce matin là, une grande agitation régnait du côté de la bibliothèque de Dim, qui, comme beaucoup de lieux extraordinaires, se trouvaient dans la taverne. On pouvait voir une foule immense devant les portes gigantesques de la sublime bâtisse, des êtres divers et variés, qui, se battaient presque dans l’espoir d’entrer et d’apercevoir la star du jour, j’ai nommé : Gollum. Oui, vous ne rêvez pas, j’ai bien marqué Gollum. Notre ami gris venait juste de publier le premier tome de son autobiographie : 500 ans sous les Monts Brumeux. Ce livre était à peine en vente qu’il était devenu l’ouvrage le plus vendu dans tous les univers. On se l’arrachait, des combats meurtriers avaient eu lieu dans les immensités des profondeurs des univers, des empires stellaires et plusieurs fois millénaires s’étaient effondrés dans des combats épiques dans le seul espoir de ramener au moins un tome dans leur espace. Dans la Terre du Milieu, on avait assisté à un spectacle étrange : les Orcs, les Gobelins, les Trolls, tous apprenaient à lire chez les Elfes pour pouvoir se délecter de la douce lecture du récit de Gollum. De partout on venait, tous espéraient posséder ou lire au moins une fois cet ouvrage magique. Les grands patrons de la Taverne avaient isolé la Terre du Milieu du reste de l’univers et ils contrôlaient le seul passage permettant le voyage pour éviter que des êtres trop avides viennent déclencher des conflits destructeurs en cet espace paradisiaque (car c’était là bas, en Terre du Milieu, que l’on trouvait le plus grand nombre de publications). De plus, dans la Taverne, il régnait un calme relatif, certes, des bousculades, quelques conflits avaient lieu mais rien de bien méchant car tous avaient peur des patrons. Et de toute façon, Gab, pour faire patienter la foule, avait jeté Jean dedans pour que les personnes ici présentes s’amusent un peu en attendant.

Pour que Gollum puisse profiter de son heure de gloire, Esus lui avait donné accès à la salle de conférence de sa bibliothèque, tapis rouge et pluie de lys et de pétales de rose (mais aussi de poissons fort bien goûteux) complétaient le tableau. Sauron lui-même avait prêté son anneau de pouvoir à Gollum, pour l’occasion. Gollum le portait fièrement autour du cou, au bout d’une chaîne. Les Nazguls super guerrier et pilote de Gundam assuraient la sécurité, ils étaient les gardes du corps de Gollum. Quelques privilégiés avaient eu accès à la salle pour une conférence spéciale du seigneur gris qui ensuite allait dédicacer quelques uns de ses livres. Et se fut le Singe, le premier et le plus grand fan de Gollum qui reçut la toute première dédicace de l’écrivain. Une photographie fut prise, avec Gollum et le Singe, tenant tous deux le livre dédicacé du primate. Gollum était tellement heureux, si fier de cet instant, qu’il n’osa pas attaquer le Singe. Il ne voulait pas rompre le charme. C’est alors qu’un barman ivre de colère se lança dans une action grotesque. Jean, avait jadis lui-même rédigé et publié un ouvrage intitulé 500 ans de torture barmaniennes qui avait fait un flop total entre nous. Jaloux du succès soudain de Gollum, succès qui aurait dû être le sien, il se mit à rassembler d’innombrables exemplaires du livre du puant et se lança dans un autodafé (bien sur il lança de la bière sur les livres et il usa d’un lance flamme ionique de 12e génération de pure énergie astrale ayant fait l’ascension et dédicacé par Tirr Mohma (dédicace jaune de Damas en plus)). Les premiers à réagir furent Gollum, le Singe et Vince qui fusionnèrent leurs projections astrales afin de créer un nouveau guerrier imbattable qui attaqua de suite le félon barman qui termina dans la foule des fans de Gollum en une multitude de morceaux.. Le péché du barman était tel que nul pardon ne saurait lui être accordé. D’un commun accord, les patrons de la Taverne décidèrent qu’à partir d’aujourd’hui, Jean serait enfin sanctionné pour ses écarts de comportement. Le barman n’allait non plus connaître de petites farces amusantes faites à son dépend mais l’Enfer lui-même voir encore plus. Après une séance de massacre, Jean termina sur le bûcher. Grâce au prêcheur des Oris, un maître dans l’art de carboniser les suppliciés, le châtiment dura encore et encore. Résurrections et carbonisations se succédèrent pour le plus grand bonheur des personnes présentes. Enfin il fut condamné à réparer les livres brûlés un par un avant d’espérer pouvoir passer par les bons soins des Docteurs Sadiques.

Le prêcheur des Oris profita d’un instant de répit pour faire pénétrer sa foi dans une ravissante japonaise, à l’aide de la position légendaire de l’eucalyptus androgyne agressé par un panda ivrogne sous une pluie de crapauds-sardines.

Quelques temps plus tard Dim décida qu’il était grand temps d’explorer les profondeurs abyssales de sa bibliothèque. Non pas que ce grand, beau et noble seigneur plein de sapience ne connaissait pas les pièces occupées par ses diverses collections, mais cela venait du fait que sa bibliothèque occupait un site qui était jadis un lieu de rassemblement de différents savoirs devenus méconnus voir inconnus avec le temps. Bien décidé donc à découvrir les secrets enfermés dans les zones inconnues de l’ancienne construction sur laquelle il avait établit sa bibliothèque il rassembla une expédition composée de lui-même, de Gab, Vince, Thib et Jean. On poussa le sadisme jusqu’à inviter le Sarcophage des Anciens pour narguer un Jean qui forcément, allait terminer en miettes mais qui ne pourrait pas profiter des pouvoirs de guérison de l’artefact. Les Docteurs Sadiques étaient de la partie ainsi que la favorite de Dim qui comme son amant, était une passionnée des livres et des mystères anciens. La fine équipe commença à traverser les salles immenses qui se trouvaient en surface, celles-ci se perdaient à l’infini et renfermaient les collections de Dim. Afin de prouver à ses compères que ses collections étaient bien protégées, il actionna les dispositifs de sécurité en prenant l’un des membres du groupe pour cible : Jean. Pièges soniques, lasers coupant, déformations spatiotemporelles aléatoires sadiques, lance-flammes ioniques, invocateurs de Jotuids et de super guerriers de l’espace, tout y passa. Tous rigolèrent des déboires de Jean, et tous s’amusèrent à déclencher les protections encore et encore. Un petit tas de cendre gémissant avec peine passa par les soins des Docteurs Sadiques qui, cette fois, rafistolèrent Jean proprement car ils avaient hâte de découvrir des pièges dans leur exploration pouvant esquinter le barman.

Alors que les Docteurs Sadiques soignaient Jean, prouvant au monde entier qu’ils avaient réellement des connaissances dans le domaine de la médecine, Dim expliqua à ses compères le but ultime de la quête. Lors de fouilles archéologiques effectuées sous le comptoir de la Taverne, il avait trouvé une très ancienne inscription. Celle-ci, disait qu’un puissant livre magique se trouvait quelque part, dans les profondeurs infinies d’une bibliothèque oubliée de tous. Ce livre, selon l’inscription, devait permettre à ses lecteurs d’assouvir ses désirs et fantasmes. Tous reprirent la route. Le groupe traversa avec célérité les salles occupées par les possessions de Dim. Seul Jean fut responsable d’une perte de temps. En effet, alors que la troupe se trouvait dans une salle dans laquelle étaient exposées de nombreuses armures, celles-ci attaquèrent subitement le tavernier. Molesté, transpercé ou découpé par les armes, écrabouillé, écartelé et torturé, notre ami connut la joie de quelques raffinements forts sympathiques. Personne n’intervint pour aider le barman, tous étaient trop curieux de comprendre le pourquoi de cet assaut soudain. C’est alors qu’une armure, expliqua à la fin du massacre, qu’il y avait là l’Association des Armures Outragées par le Fait que Jean Utilise des Armures pour se Protéger Pouvant Mener la Dite Armure à se Manger des Dégâts à la Place du Barman (AAOFJUAPPMDAMDPB). Après ce petit passage burlesque, nos amis arrivèrent enfin aux frontières du domaine de Dim. Il y un passage, menant visiblement à un couloir qui s’enfonçait dans les profondeurs. Un champ de force empêchait de passer. D’un commun accord, tous décidèrent de balancer Jean sur le champ de force. À peine le pauvre fut-il en contact avec le champ d’énergie qu’il commença à hurler de douleur et à se convulser. Sa peau s’évapora avec lenteur, des décharges électriques attaquèrent ses muscles qui, carbonisés, tombèrent à terre les uns après les autres. Ses organes se liquéfièrent et ses os brûlèrent. Les Docteurs Sadiques furent impressionnés, ils virent ici une méthode de guérison imparable. Le champ de force s’était tellement acharné sur le tavernier, qu’il disparut aussitôt. Derrière, il y avait bien un couloir. Sur chacun des côtés on pouvait apercevoir des étagères croulantes sous des livres.

Les Docteurs Sadiques s’empressèrent une nouvelle fois de rafistoler un barman qui fut désigné volontaire forcé pour servir d’éclaireur. Il avançait avec plusieurs mètres d’avance. Il connut la joie d’éviter au reste du groupe d’être attaqué par des fléchettes empoisonnées et explosives, de subir l’écroulement soudain d’étagères avec les pages des livres quittant les ouvrages pour assaillir Jean, pages encore plus tranchantes et coupantes que les piques du Gritche lui-même. Jean tomba dans plusieurs trappes qui s’ouvraient sous ses pieds. Quand par miracle, il parvenait à se maintenir temps bien que mal, quelqu’un s’empressait de lui couper le main pour le forcer à tomber et s’empaler joyeusement sur des piques acérés, d’exploser sur des mines génératrices de champ de ralentissement temporel, d’être attaqué par des serpents et des scorpions au venin très particulier (corrosif, attaquant juste une partie des organes vitaux pour provoquer la souffrance mais non le trépas par exemple), se faire dévorer vivant par des insectes carnivores qui en plus pondaient leurs œufs dans le corps du pauvre homme. Sans oublier qu’une fois dans la trappe, Jean recevait sur lui les grenades, rochers, pierres coupantes, couteaux etc envoyés sur lui par ses patrons. Vince trouva même une table en chêne massif, il assomma Jean à un moment où, il parvenait à échapper à un trou dans le sol dans lequel se trouvait un troupeau de Chub Chubs sadiques. Pour le coup, il tomba dedans et passa un très bon moment. Le Sarcophage des Anciens se moqua de lui comme jamais. Jean le défia et hurla à la face de ceux qui ne voulaient pas l’entendre, qu’il parviendrait à grimper dans l’artefact et que celui-ci serait alors forcé de le soigner. Le Sarcophage rigola de plus belle. Les pitoyables restes du tavernier, une fois l’épreuve des Chub Chubs sadiques passées, attaquèrent alors le Sarcophage qui, transmuta une nouvelle trappe piégée dans laquelle se trouvaient des lianes tranchantes et douées de raison. Elles s’enroulèrent doucement, presque délicatement autour de Jean, prenant le temps de compresser et ainsi trancher peu à peu leur victime du jour.

Après bien d’autres déboires pour Jean, le groupe déboucha dans une salle immense. Celle-ci devait faire des milliers de mètres de hauteur, de longueur et de largeur. D’immenses étagères, au rangement chaotique, étaient toutes emplies de livres. Il était difficile de se repérer dans un tel espace, d’autant plus que nos héros ignoraient où il fallait aller. Ils optèrent pour rester en hauteur, marchant sur les étagères. Jean se distingua par sa maladresse légendaire. Alors qu’il sautait d’une étagère à une autre, une plaque de verglas se généra d’elle-même, le barman glissa et bascula pour se rompre sur le sol après une chute interminable. Personne ne vint l’aider, il remonta seul et sans le moindre soin, avec tous ses os brisés, quelques organes bien entamés et perdant son sang. Il mit tant de temps à remonter, que Gab le châtia une fois de nouveau avec le reste du groupe. Il frappa allégrement son tavernier, ce qui provoqua le décrochage de sa tête de son corps. La tête valsa dans le lointain et Gab envoya le corps de Jean pour la retrouver. Il se perdit dans un véritable labyrinthe de livres, fut attaqué par des minotaures croisés avec des gènes de Broly échappés du laboratoire de Thib, par des Hydres-Cactus de Lerne, des harpies qui, invulnérables, se battirent contre Jean dans un duel qui était pour lui, perdu d’avance. Elles dévorèrent Jean et ne laissèrent que ses excréments. Une fois sa tête retrouvée et plus ou moins réparé, il partit en quête du groupe qui l’attendait en continuant à avancer histoire de le perdre un peu plus. Jean découvrit l’usage particulier que l’on pouvait faire de la magie dans ces lieux : un moment donné, il se sentit léger, très léger. Tellement léger qu’il se retrouva à plusieurs centaines de mètres de haut avant de se sentir subitement lourd et de fuser avec célérité vers le sol sur lequel il s’éclata en mille morceaux. Parfois, alors qu’il avançait prudemment, l’air qu’il respirait devenait du CO2 ou du CH4, du poison ou des vapeurs toxiques. À force d’étouffer et d’être empoissonné, il expulsa ses poumons par les trous de nez. Un peu plus tard, il s’aperçut avec effroi que ses grenades avaient été téléportées dans son corps et que seules les goupilles étaient restées avec lui. L’explosion l’éparpilla tout simplement.

Finalement il retrouva le groupe d’explorateurs par une téléportation sadique, qui, l’envoya dans une cuve d’eau que l’on ne pouvait pas ouvrir, ni de l’intérieur, ni de l’extérieur. Il constata avec horreur la présence de piranhas dont la gueule emplie de dents tranchantes et rotatives à très grande vitesse qui, s’empressèrent de s’amuser avec lui dans un savoir-faire de sadisme et de perversion sans pareil. Une fois complètement dévoré, Jean subit une nouvelle téléportation sadique. Il se retrouva enfermé dans une multitude de miroirs. Gab, Dim, Vince et Thib s’empressèrent de les briser. Pour chaque morceau de miroir, on avait alors un morceau de barman. Trouvant cela amusant, les patrons de la Taverne décidèrent de briser les morceaux en de plus petits éclats. La dernière manifestation magique consista à couper Jean en deux et forçant les deux parties à s’affronter dans un âpre combat qui eut raison de la consistance du tavernier. Deux petits tas de cendres attaquèrent alors le Sarcophage par les flans. Heureusement, ce dernier émit une vague d’énergie destructrice qui balaya les cendres comme poussière au vent.

Ayant traversé cette vaste salle qui s’était révélée sans le moindre piège ou embûche, ils arrivèrent devant un gouffre. Tous remarquèrent la présente d’un pont de pierre. On s’empressa d’y envoyer le tavernier, qui, victime d’une magie de l’illusion, tomba une fois encore la tête la première histoire de s’éclater une deuxième fois la tronche après une chute mémorable. Là encore, il remonta de lui-même, malgré ses blessures et souffrances. Le gouffre facilement franchit par Gab, Dim, Vince et Thib qui aidèrent les Docteurs Sadiques, le Sarcophage et Ai, mais laissant Jean derrière. Cet imbécile, était remonté du côté de là où il avait chuté. Il devait donc redescendre et ensuite, escalader l’autre côté, ne sachant pas voler comme ses employeurs. Il commença donc la descente, glissa sur une roche humide et chuta une fois encore. Dans le fond du gouffre, il découvrit la présence de rats mutants golems démons, eux aussi échappés du laboratoire de Thib. Imaginez, le côté rat pour le sadisme et pour creuser un passage dans le corps du tavernier, le côté golem pour exploser sans difficulté le pauvre homme tout en envoyant des attaques magiques, le côté démon pour des souffrances interminables, des tortures digne des Enfers, et un côté magique encore plus prononcé que chez les golems. Quelques restes parvinrent à se hisser finalement, et à rattraper le groupe qui en avait ras le bol d’attendre Jean qui traînait toujours. Les Docteurs Sadiques, excédés soignèrent Jean et l’envoyèrent de nouveau dans le gouffre. Là, il découvrit la présence d’un dragon kraken maître de la magie des éléments. Étouffé, broyé, calciné, noyé, déchiqueté par un vent violent, enterré vivant, Jean s’amusa comme un petit fou. Le Sarcophage poussa son sadisme à venir encourager Jean, mais l’empêchant toujours de profiter de ses bons et loyaux services.

Après l’épreuve du gouffre, nos amis se retrouvèrent engagés dans une galerie se perdant à l’infini. Plusieurs heures passèrent sans le moindre piège activé. Jean, confiant, commença à avancer serein. C’est alors qu’il sentit comme un petit picotement qui, peu à peu, devint une véritable souffrance alors que sa peau semblait se dissoudre mystérieusement. Non seulement sa peau, mais aussi ses organes, ses muscles et ses os. De nouveau, il avait été victime de la magie de l’illusion, en vérité, là où il ne voyait rien, il y avait une pluie d’acide. La magie de l’illusion continua : voyant une rivière, Jean voulut la traverser, en vérité il s’agissait d’un mur de feu. Le pire, fut le moment où Vince fut aussi victime de la magie de l’illusion, croyant voir un comptoir, il commanda à Jean une bière. Ce dernier l’envoya bouler comme un mal propre, lui disait qu’il n’était qu’un faiblard s’il se faisait ainsi avoir par cette attaque magique et que jamais plus il ne viendrait servir un être aussi ignoble que lui. Il continua, disant qu’il pouvait aller se faire bouillir une eau de Vichy avant de l’ingurgiter et d’aller se faire mettre chez les Jotuids qui, étaient tous des fiottes mais moins que Vince.

Vince, d’abord incrédule, laissa rapidement sa colère monter en lui. Il invoqua sa colère sous une forme physique, celle d’une immense masse qu’il utilisa sur Jean, le réduisant à l’état d’une pulpe sanguinolente. Puis, après avoir régénéré le pauvre homme, il transforma ses organes en explosifs histoire de rigoler un peu. Puis, il invoque un fouet avec lequel il enserra le malheureux Jean avant de le découper en disques. Enfin, il utilisa une attaque par laquelle il pénétra les souvenirs de sa victime, les faisant remonter à la surface. Jean assista alors au défilé de tous ses péchés, ressentant toutes les souffrances qu’il connut pour chaque châtiment de chaque péché. Cette arcane attaquant aussi bien le corps physique de Jean que son âme, qui, en punition de ses crimes, subit toutes les tortures que l’on peut subir dans les Enfers Jotuids.

L’expédition continua. Le groupe continua sa course, passant par des endroits improbables, tous emplis de livres par millions. Un moment donné, Jean, assoiffé, aperçut une cascade. Il s’empressa de vouloir boire. Il se plaça dans la chute d’eau et ouvrit grand la bouche. Aussitôt l’eau se transforma en acide et le pauvre homme connut une nouvelle pulvérisation. De nouveau, l’hilarité fut de mise devant un spectacle aussi burlesque.

Enfin, le voyage toucha à son terme. Nos héros débouchèrent dans une salle quasiment vide. Au centre, trônait un pupitre avec un livre reposant dessus. Jean, bien décidé à assouvir ses désirs de vengeance contre ses patrons et les clients de la Taverne, avança le premier. Il tomba nez à nez avec un dino-dragon golem Jotuids berserker marionnettiste du chaos de la mort qui tue. Et il eut mal, très mal, très très mal. Alors que tous rigolaient devant ce spectacle si poétique, Gollum survint par téléportation et s’empara du livre et hurla alors :

- Que le Singe vienne à moi et que je le prenne enfin !

Tous furent étonnés, n’ayant rien vu venir. Alors le Singe apparut comme par magie, c’est le cas de le dire, et, sans pouvoir résister, se dirigea vers un Gollum triomphant. Le Singe, complètement effrayé, comprenant que là, il ne pouvait rien faire, lança un appel au secours silencieux à ses amis. Mais cela était sans compter sur le pouvoir de marionnettiste de la créature gardienne du livre qui, rappelons le, malmenait Jean. Il força ce dernier à attaquer Gollum, à s’emparer du livre et à prononcer les paroles suivantes :

- Que je devienne un instant seulement, le seul, véritable et unique Singe !

Et là, Gollum, emprisonné par le vœux qu’il avait prononcé, se retrouva à besogner du barman sous les rires moqueurs des personnes présentes alors que le Singe lui, soulagé, s’emparait du livre pour demander :

- Que je devienne aussi fort que tous les Jotuids réunis et que cette puissance éphémère soit sous mon contrôle total !

Aussitôt demandé, aussitôt réalisé. Il invoqua une attaque cataclysmique qui eut raison de Gollum et du tavernier. Les Docteurs Sadiques envoyèrent un sort de restauration de barman couplé avec un sort de téléportation aléatoire. Alors que nos héros venaient de triompher des épreuves que seul Jean avait subi et qu’ils s’apprêtaient à repartir vers la Taverne, tous constatèrent l’absence de Dim et Ai. Tous deux, ayant remarqué une salle dans laquelle se trouvait un accumulateur de puissance magique, et ayant pour fantasme subit, là maintenant, de se donner l’un à l’autre en cet endroit, ils y partirent sans perdre un instant. Comme toujours, les vêtements n’offrirent aucune résistance aux deux amants qui avaient pour hâte de se délecter l’un l’autre. Le Malheureux Concours de Circonstance, qui, avait suivi le groupe avec discrétion, espérant un moment donné pouvoir s’amuser avec le tavernier, prit alors le contrôle du flux de la téléportation aléatoire. Après moults assauts ravageurs de plaisir, Ai, sous l’action maintenant plus que légendaire du Grand Coup de Rein, pulvérisa la sphère de magie accumulée dans la pièce. C’est alors qu’un puissant rayon magique, pulvérisant tout sur son passage, partit dans la direction opposée de nos deux amants. Jean alors, se téléporta en plein dans ce rayonnement magique et termina sous une forme étonnante : un flot de particules et d’antiparticules condamnées à s’affronter dans un combat titanesque et quasi éternel.

Quand notre groupe réintégra la Taverne, Jean fut attaqué par tous les Jotuids qu’il avait insulté de fiotte quelques instants plus tôt. Les patrons offrirent le livre magique aux clients, expliquant son fonctionnement, et tous, voulurent l’utiliser dans un seul but : pulvériser le barman.

Une vague de tendresse emplie la taverne, quelle noble cause. Nos clients, ravis, portèrent leurs maîtres en triomphe vers leurs temples, tout en piétinant Jean avec fureur. Là, grâce au livre magique, chaque fille nue avait été dupliquée par un nombre inimaginable, même pour un esprit divin, nos héros s’occupèrent avec ardeur du plaisir avide des demoiselles gourmandes. Enfin, ils partirent vers le Bordel, histoire de se reposer un peu après une journée de travail bien remplie, mais beaucoup moins que les amantes de nos héros.

Oyez chers compagnons, les prouesses inégalables de nos héros. Venez à moi bonnes gens et écoutez ces récits mythiques et magiques, plongez dans un univers mystique et coloré, rencontrez l’incroyable au détour de l’extraordinaire. Et surtout, regroupez-vous, arme à la main, apprêtez-vous à goûter au plus grand défouloir de tous les temps, j’ai nommé : Jean, barman de profession.

Chroniqueur inconnu de l’histoire des Esus Brothers et de leurs joyeux compagnons.

Nous étions à l’aube d’un jour nouveau. Cependant la vérité était toute autre, les choses changent mais elles restent pourtant immuables. Rentrer dans la taverne signifiait donc découvrir de nouveaux déboires barmaniens tout en restant dans une sorte de routine quasiment inchangée depuis des lustres. Seulement, les patrons comme les clients ne s’en lassaient pas. Jean entra par la grande porte, il esquiva merveilleusement bien un katana qui prenait accidentellement la direction de sa gorge mais il n’évita pas de glisser sur le sol encore mouillé. En effet, face à l’incompétence du barman, Gab avait embauché (et non débauché) des femmes de ménage. Jean glissa donc, sa glissade dura encore et encore, le pauvre homme passa sous des chaises et des tables, entraînant tout sur son passage, il eut droit à de collision avec des objets divers et surtout très étranges (franchement, de vous à moi, vous pouvez me dire ce que foutent des pointes de lances sortant du sol ? Ou encore, des grenades dégoupillées, des morceaux de verres aussi coupants que le Gritche avec le tétanos en prime, des mines se collant que sur les barmans ? etc) et il termina sa course avec un plongeon sublimissime dans la piscine de soude. Le pauvre homme hurla de douleur, il ressortit rapidement pour la plus grande tristesse de petits comme des grands, heureusement pour les clients, le Singe avait oublié une peau de banane par terre et Jean mit le pied dessus. On eut droit à un superbe salto arrière et à une nouvelle chute du tavernier dans la soude (tout en sachant qu’il s’explosa la tête sur le rebord de la piscine et qu’il perdit toutes ses dents). De nouveaux hurlements et une nouvelle décomposition rapide de Jean qui ressort de la soude. Jean allait partir en quête du Sarcophage des Anciens quand Gab vint le trouver, il ordonna au barman de ranger les tables et chaises qu’il avait entraîné lors de son jeu matinal. Le pauvre Jean essaya bien sur de protester mais Gab lui fit boire de la super glue prise ultra rapide avant de clouer sa bouche. C’est un vague reste d’être humain qui commença à ramasser les tables et les chaises et à nettoyer. Jean était tellement absorbé par son travail que cette fois-ci il ne vit pas venir le katana, sa tête vola sur plusieurs mètres avant de terminer dans un feu de cheminée tout juste allumé par Calcifier qui rigola comme un fou avec son ami le Sarcophage.

Jean, pas très en forme il faut l’avouer, se remit au travail. Il devait en effet préparer la Taverne pour les 31 décembre et 1er janvier. Alors qu’il œuvrait seul, réduit à l’état d’esclave, il subit les encouragements de ses meilleurs amis. Vince par exemple, fouettait Jean avec un fouet clouté et électrifié, qui, tout en s’enfonçant dans la peau et la chair, les arrachait allégrement. Dim, armé d’un double fouet du Balrog, s’acharna comme un dément dégénéré sur un pauvre tavernier reconnaissant. Bien entendu, Dim avait fait en sorte qu’à chaque coup de fouet, que du magma en fusion s’écoule sur sa victime. Gab lui, qui venait de dégoter un fouet pouvant geler la cible toucher au zéro absolu, entra dans la danse. Thib lui, arriva bientôt avec un fouet liane serpent carnivore. Heureusement pour Jean, qui souffrait le martyr, les Docteurs Sadiques prenaient soin de lui en l’irradiant pour le remettre en forme alors que le Sarcophage des Anciens s’amusait à s’ouvrir sans cesse, pour montrer son intérieur maintenant interdit à Jean.

Après des heures de coups de fouets et de pluie de tables en chêne massif sur sa pauvre tête, Jean, sous l’action des nanites, s’empara d’une hache. Il commença à couper les sapins qui décoraient la Taverne pour les fêtes. Aslan arriva alors, éveilla les sapins pour qu’ils se défendent. Jean, fut proprement pulvérisé par les arbres qui, non seulement l’écrasèrent, le broyèrent, l’empalèrent sur leurs nouvelles épines offertes par le Gritche lui-même, mais en plus, devenant subitement carnivore, ils le dévorèrent. Mais Jean, toujours présent, lança sur Aslan un très ancien sort magique. Il bloqua le lion qui, ne pouvait plus se défendre. Là, il sortit une dague d’orichalque, un très ancien artefact magique qui, pouvait terrasser n’importe qu’elle créature magique et renvoyer sa puissance sur son assassin. Alors que Jean exultait, se voyant déjà avec les pouvoirs d’Aslan, il constata avec horreur qu’il était victime de la magie de l’illusion. En vérité, Jean était immobilisé et Aslan était libre. Aslan en profita pour lui arracher ses peaux physiques et spirituelles avant de la torturer avec la Sorcière Blanche sur la table de pierre pendant une semi-éternité.

Le Sarcophage, toujours là pour profiter de ses amis dans le besoin, exagéra la facturation de Jean pour sa régénération. Cependant, comme il était en grève, il envoya bouler un Jean dépité qui venait de s’endetter auprès de Dim et des Nains. Alors que le Sarcophage comptait les billets que le barman venait de lui donner, nous vîmes Jean se diriger vers un distributeur de boisson. Le tavernier opta pour une canette de jus d’orange. Quand ses lèvres entrèrent en contact avec la canette, il y eut un phénomène particulier : la canette subit une métamorphose, elle devint un cactus vampire Wraith. Le résultat fut sublime. Bien sur, le cactus s’en alla dans l’anus du tavernier, causant au passage d’innombrables ravages. En tant que vampire, il s’alimenta du sang de Jean. En tant que Wraith, il faisait de même avec son énergie vitale, mais avec une petite subtilité inédite de derrière les fagots qui changeait tout : il ne faisait qu’absorber l’énergie vitale d’un organe, d’un os ou d’un muscle par exemple, ce qui fit durer le supplice des heures durant. Et c’est un barman en grande partie vidé de son sang et de son énergie vitale avec un cactus dans le derrière qui subit un autre déboire. Il est nécessaire de rappeler à nos lecteurs infidèles que les Wraiths sont télépathes. Logiquement, un cactus Wraith l’est aussi. Et donc ce cactus entra en communication avec un Dim pourtant fortement occupé avec quelques représentantes du Hello Project. Le cactus demanda à Dim de venir le trouver, briquet à la main. Mais quand Dim surgit, le constat fut direct, nul briquet, mais un lance flamme ionique chevalier d’or. Et le barman s’enflamma alors, et non notre ami cactus qui en absorbant sang et énergie vitale, se régénéra comme un Wraith. Dim et le Cactus se serrèrent la pince sous le regard amusé sur chevalier d’or du Cancer avant de s’en aller boire un petit verre en compagnie de charmantes créatures.

C’est alors que Gab, aidé de son assistant Vince tentèrent une nouvelle méthode pour régénérer Jean. Gab voulait créer une sorte de bulle temporelle autour de Jean, celle-ci aurait pour fonction principale de ramener Jean à l’état d’avant sa séance de torture. Gab commença son expérience, la bulle temporelle fut belle et bien formée autour de Jean mais il y eut bien évidement un problème. Déjà Dim et Thib s’amusèrent à créer un champ gravitationnel si intense qu’il en perturba le court du temps autour de la carcasse brûlée du barman. Ensuite, Vince avait ramené avec lui Chronos, les deux amis étaient encore plus remplis que des pompiers nains considérés comme alcooliques par leurs congénères. Chronos, l’esprit complètement embrumé, modifiait presque sans s’en rendre compte, l’écoulement normal du temps. Bref. Une partie de Jean fut ramenée à son état naturel, d’autres revinrent à des états antérieurs (comprendre à des tortures passées), une partie du barman rajeunît alors que d’autres connaissaient un vieillissement accéléré. Le résultat fut assez extraordinaire. Il ne fallait pas oublier la présence du champ gravitationnel qui attirait Jean. Le barman qui connaissait toujours des reconstructions/destructions aléatoires temporelles fut bientôt haché menu par la force de gravité. Après quelques heures d’un acharnement thérapeutique inutile, Gab en conclut logiquement que cette méthode ne donnait pas les effets recherchés. Les Docteurs Sadiques, en désaccord, s’acharnèrent encore et encore.

Une expérience ratée n’allait pas décourager Gab. Il s’attaqua dans la foulée à l’élaboration d’un pont entre l’espace temps de la taverne et celui d’un univers parallèle. La but premier de cette expérience était naturellement en retirer une forme d’énergie infinie qui permettrait ainsi d’alimenter toutes les machines encore en sommeil dans le musée du sadomasochisme et d’en faire profiter Jean. Seulement, sous l’action de son libre arbitre truqué schizophrène Jean modifia considérablement les paramètres de l’expérience en question. Et le drame se révéla enfin quand Vince commanda sa bière. Jean lui apporta la commande en question, Vince constata avec effrois que sa bière avait une allure des plus particulière. C’est alors que Gab éclaircit le mystère (grâce à une vidéo truquée tout juste terminée de Dim): Jean avait relié la machine de Gab à la bière, ainsi l’énergie était puisée dans ce noble et divin liquide (et envoyée vers Jean pour le renforcer) alors que les particules exotiques formées par l’expérience étaient directement renvoyées dedans. Comme à son habitude Vince se laissa une fois encore pour une toute nouvelle première fois, emporter par la plus destructrice de toutes les rages, sa folie destructrice n’avait d’égale que son amour de la bière et des jeunes et jolies japonaises. S’emparant de la bière, il força Jean à la boire par les pores de sa peau. Le résultat fut doublement concluant. Premièrement, cela causa un trou dans la structure du tavernier qui au final s’effondra sur lui-même. Dans un second temps, Gab conclut logiquement que l’on pouvait puiser la souffrance de Jean et la retransformer en énergie. Alors certes, cette conclusion a déjà été tirée à maintes et maintes reprises dans cette histoire mais là, les clients s’en donnèrent à cœur joie. Jean fut impitoyablement massacré par des foules en délires et psychopathes. Mais Vince n’en n’avait pas terminé, en vérité, il venait à peine de commencer. Il récupéra les restes d’un Jean effondré sur lui-même puis, dédoublant le tout, provoqua la collision terrible d’un double barman trou-noir à la masse gravitationnelle extrême. Celle-ci attira tout les objets tranchants, les manières explosives et corrosives qui, arrivèrent sur Jean au moment où, les Docteurs Sadiques le soignèrent. Vince attendit que Jean soit de nouveau pulvérisé avant d’effondrer une fois encore le tavernier et de le transformer en nid à Jotuids.

Jean, toujours opiniâtre, voulait en terminer une bonne fois pour toute avec les nanites et autre libre arbitre débile présents dans sa tête. Il s’empara d’un fusil anti-réplicateur qu’il modifia aussi pour exterminer le libre arbitre truqué. Seulement les modifications de Jean ratèrent complètement, quand le barman se tira dessus, se furent les molécules de son cerveau qui brisèrent tous liens entre elles. Son cerveau s’écoula par ses trous de nez et tomba dans une choppe de bière qu’il amenait à Vince. Le poivrot universel ne supportait plus les délire de Jean, et encore il devait rapidement rejoindre quelques amies au bordel, Vince s’empara du fusil ant-barman qu’il gardait toujours sur lui. Il annihila ainsi le corps puis l’âme du tavernier. Enfin tranquille et serein, il allait pouvoir reprendre son travail habituel (boire et baiser quoi).

Alors que le prêcheur des Oris se préparait mentalement à convertir une jeune nippone perverse à la position du chevalier Jedi jouant la flûte enchantée sur le dos d’un Garuda attaquant un chasseur TIE, entra dans la taverne un dénommé Gollum. Gollum était aujourd’hui l’organisateur d’un événement qui devait faire date dans la taverne. En effet, notre ami avait demandé aux patrons l’autorisation d’organiser la vengeance de Ginue face à Goku. Le capitaine des forces spéciales de Freezer était certain de pouvoir l’emporter facilement face à un Goku pourtant surpuissant. Tous étaient curieux, et l’on vit même le Singe s’approcher. Les deux adversaires prirent place sur le comptoir, après quelques secondes d’observation, le combat débuta. Des boules d’énergies fusèrent dans toutes les directions, il est pourtant nécessaire de vous prévenir que seul Jean s’en prit dans la tête. Après différentes tentatives, Ginue opta pour sa technique secrète, transférer son esprit dans le corps de Goku et l’esprit de Goku dans son corps. Seulement voilà, quand le transfert débuta, Gollum se jeta dans le lien énergétique. Il s’empara ainsi du corps de Goku, se transforma en super guerrier de niveau 4, arriva ses vêtements, se téléporta derrière le dieu des primates et hurla :

- Le singeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee.

Et à la surprise générale, Gollum parvint à violer ce primate objet de ses désirs les plus intenses. Seulement voilà, il s’agissait en vérité d’un singe réplicateur portant en lui une bombe nucléaire de forte puissance, elle était même capable d’annihiler un super guerrier au top de sa forme. L’explosion eut raison de Gollum, le corps de Goku fut désintégré et il fallut les bons et loyaux services d’un Shenron pourtant en grève car travaillant maintenant à la SNCF pour réparer tout ce bordel. Il est utile de préciser que Jean se retrouva au beau milieu de l’explosion, et Shenron oublia volontairement de le réparer.

Alors que le Singe entrait dans la Taverne avec son cousin, tous deux sereins, ils aperçurent avec effrois que Gollum était bel et bien là. Après une analyse rapide des systèmes de surveillances de la Taverne, les patrons conclurent que le Gollum atomisé était en fin un Gollum réplicateur avec un esprit clone du puant. Gollum arracha derechef son pagne et fusa vers un Singe dépité. Ce dernier, oubliant son cousin, attaqua Gollum. Un duel terrible débuta, alors qu’à la surprise de tous, un autre Gollum apparut à proximité du livre magique pouvant réaliser les désirs et fantasmes. Le Singe ne comprenait plus rien, comment son adversaire pouvait-il ainsi être partout à la fois ? Laissant tomber le Gollum qu’il combattait, il se téléporta vers le deuxième à proximité du livre pour le châtier. Alors que le dieu des primates annihilait le deuxième Gollum, qui se révéla être un avatar, le premier Gollum qui était le vrai, avait dérobé le livre magique, et dans un sourire sadique doublé d’un regard triomphant, il prononça les mots suivants :

- Je veux avoir le cousin du Singe sans que quiconque puisse m’en empêcher !

Et ainsi, Gollum, devant les yeux du Singe lui-même réduit à l’impuissance, abusa de son cousin encore et encore pour son plus grand plaisir. Après cet exploit, il s’exila volontairement dans une autre dimension pour échapper à la colère du Singe, qui, jura qu’il vengerait l’honneur de son cousin et de sa famille.

Thib arriva affolé, hurla à plein poumon que ses cancrelats Sarlacc à l’estomac Gritche s’étaient enfuis. Tous prirent la fuite, sauf Jean qui, subitement était de nouveau victime d’un sort d’immobilisation gentiment envoyé par un Gab compatissant envers … les créatures de Thib. Imaginez de petites bestioles très voraces, qui, dévorèrent un Jean qui fut digéré pendant plus de 1000 ans dans des estomacs aussi tranchant que les piques du Gritche.

Les chevaliers de la table ronde, grands amis de Dim, entrèrent alors dans la Taverne. Dès que Jean, de nouveau opérationnel, les aperçut, il s’empressa de s’emparer du Graal, de déféquer dedans avant de le réduire en petits morceaux à coup de masse d’arme Nazgul. Les chevaliers saisirent alors leurs nouvelles épées de pure énergie Jotuids forgées par Sauron lui-même, avec l’aide d’un dieu Nain, le Grand Forgeron. Ils s’acharnèrent tellement sur le pauvre homme que l’on ne retrouva rien de son corps physique et que son âme termina sous la forme d’un tas de pulpe astrale.

Pendant ce temps, Dim et Ai, qui furent rejoint par les Biyuuden, s’éloignèrent dans un des entrepôts technologiques de la Taverne. Il y avait là, de nombreux appareils entreposés dont l’usage était oublié avec le temps. Voyant cela, le Malheureux Concours de Circonstance se frotta les mains, supposant avec raison, que Jean allait méchamment déguster. Dim et ses amantes s’en donnèrent à cœur joie. Dim étant un dieu, il pouvait satisfaire les demoiselles toutes en même temps et au moment du Grand Coup de Rein qui eut raison de la raison des jeunes femmes, se fut sublime. Ai, par inadvertance, via un coup de pied maintenant lui aussi légendaire, déclencha un mécanisme qui ébranla le continuum espace-temps. Les sécurités permirent de limiter les effets au seul tavernier qui fut laminé, ébranlé, explosé, ratatiné, effondré, broyé etc. Les Biyuuden elles, déclenchèrent un antipolarisateur de structure, ce qui détourna l’énergie barmanienne formée par l’ébranlement du continuum barmanien, dans l’hyperespace qui, s’annihila pour une raison inconnue.

Gab eut du mal à retrouver quelque chose du tavernier. À peine était-il reconstitué, que les patrons décidèrent de le violenter pour vérifier s’ils avaient bien récupéré Jean. Dim s’amusa à lui clouer les doigts des mains et des pieds sur le sol avec des clous made in Gritche. Thib lui, lâcha une fourmilière des pires fourmis qui existaient au monde sur un Jean qui, déjà subissait les assauts de Vince et Gab. Ce premier broya les os du pauvre homme un par un avant de les réduire en poudre et ce dernier se contenta de lui éclater la tête à coup d’armoire métallique, car bon prince à cet instant. Nos amis, auréolé de leur gloire éternelle, furent portés en triomphe par une foule admiratives qui déjà les menait vers leurs temples, là où attendaient leurs fidèles dénudées. Le prêche source de plaisir s’acheva vers le départ de nos amis vers le Bordel, afin de se reposer après leur dur labeur.

Une nouvelle journée débutait en cette terre sainte que j’ai nommé la Taverne. Un être impie, vivant dans le péché, pénétra dans ces lieux auréolé de lumière céleste : Jean. Jean revenait tout juste d’un petit séjour gentiment offert par Dim. En effet, cet être à l’auguste et maxime gloire et sapience, avait envoyé son ami tavernier dans une petite maison d’hôtes berrichonne : la Fistinière. Là-bas, Jean testa un nouvel espace venant juste d’ouvrir : le fion du bois. Il goûta à la joie immense du cactus baobab géant XXL grand format hors catégorie. Selon les dires des patrons et des clients, on avait rarement vu au-delà de trois branches en même temps. Jean lui, héroïque et toujours prompt à réaliser des exploits impensables, avait été fisté par plus de 333 333 cactus baobab géant XXL grand format hors catégorie. Quelques rumeurs déjà, racontaient que le Gritche avait fusionné le cactus baobab géant XXL grand format hors catégorie avec son séquoia géant à épines tout particulièrement aiguisées.

Jean entrait donc dans la Taverne. Alors qu’il venait à peine de passer la porte, une trappe s’ouvrit sous ses pieds. L’infortuné tavernier tomba alors. Mais chose étonnante, il se rematérialisa à quelques millions d’années-lumière au-dessus du comptoir, comptoir qui était devenu une source gravitationnelle particulièrement impressionnante. Au moment même où Jean se ratatina la gueule après une chute des plus mémorables, le comptoir revêtit une couche en Katchin avec des pointes made in Gritche par-dessus. La tête vola en éclat au moment de l’impact et des dents fusèrent partout avec une célérité digne d’un coureur cycliste dans l’hyperespace. Les restes du corps, empalés, laissèrent s’écouler un flot de sang qui ne semblait jamais vouloir se tarir. Vince, qui n’avait pas encore décuvé de la Cène, avisa une table en chêne massif gentiment amenée là de suite maintenant par Dim. S’emparant de la table, il l’éclata avec un savoir faire inégalable sur un Jean littéralement à plat. C’est alors que Gab pénétra à son tour ce sanctuaire sacré qu’était sa Taverne. Voyant Jean se reposer tout en salissant le noble établissement, il vit rouge (en même temps il contemplait le sang du pauvre homme). Il rappela au barman que la Taverne était un établissement de Standing et que la foule finirait par le délaisser si cette dernière venait à ressembler aux rues de Paris (une décharge donc). Cette leçon fut instruite à des restes pitoyables, violement secoués et frappés avant d’être envoyés dans un broyeur d’étoile histoire d’en finir pour de bon.

C’est alors que Dim prévint Gab qu’il venait de trouver un laboratoire clandestin d’alchimie dans les tréfonds des sous-sols de la Taverne. La bierre avait été, semble-t-il, l’ingrédient le plus utilisé dans une tentative de recréer la pierre philosophale.

Jean passa par les services d’un Sarcophage des Anciens qui, une fois de nouveau opérationnel, l’expulsa dans un champ de mine à fragmentation de l’espace-temps. C’est alors que les Docteurs Sadiques s’en prirent à Jean. Le barman ne vit rien venir. Plusieurs Docteurs l’éclatèrent avec des pelles et des pioches, avant de lui introduire un marteau-piqueur dans le derrière et de lui vider plusieurs chargeurs d’une arme Jotuids, le tout à bout portant. Quand des clients, étonnés, demandèrent quel était le pourquoi de cette action, ils eurent pour réponse : « Depuis la fin de la grève du Sarcophage et de Shenron, on ne peut plus soigner Jean. Alors nous le massacrons afin de pouvoir le remettre en forme ». Devant cette logique implacable, les clients saisirent des hallebardes de pure énergie, des épées à triple tranchant, des arbalètes nucléaires, des téléporteurs d’organes aléatoires et autres petites joyeusetés que l’on pouvait trouver dans la Taverne afin d’aider les Docteurs Sadiques. Ces derniers remirent ensuite au goût du jour l’acuponcture. Ils plantèrent des graines de cactus trempées dans une potion du druide Panoramix dans les restes encore fumant du barman. Les plantes poussèrent instantanément et empalèrent les rares parties encore intactes de la victime, pardon, du patient du jour. Ils furent amers en découvrant avec tristesse que ce remède n’aidait en rien. Avisant le nez de Jean, ils décidèrent de lui faire respirer du Zyklon B puis ensuite un gaz rare provenant d’un autre univers. Là, il y eu une réaction qualifiée par la suite de magique. Le tas de chair qu’était en cet instant l’ami Jean. La peau se craquela et devint cendre qui s’envola comme poussière au vent quand Dim passant par-là décida d’actionner les souffleries de la Taverne. Les muscles devinrent particulièrement sensibles. Le moindre contact avec n’importe quoi déchaînait un flot d’une douleur si atroce que l’atrocité elle-même, vomissant d’horreur, demanda l’asile politique chez les petits poneys. Puis, les muscles se liquéfièrent. Une partie s’écoula dans la piscine de soude et l’autre dans celle d’acide. Le squelette enfla et devint subitement si léger qu’il s’envola. Arrivant au-dessus du comptoir, toujours recouvert de sa couche de Katchin et des pointes du Gritche, il retrouva alors sa normalité. Les os s’éclatèrent à l’impact, défonçant même une partie du comptoir. Pour Gab, le barman allait trop loin. Il le régénéra, l’attrapa et l’étrangla avant d’user à bout portant d’une arme lançant des balles-aiguilles contenant chacune une charge neutronique modifiée. À l’impact, le projectile développa une boule de feu nucléaire. Puis, il le redonna aux Docteurs Sadiques qui tentèrent en vain de le soigner l’aide d’une presse à trou noir hypermassif et d’un empaleur à Jotuids.

Alors que le Prêcheurs de Oris convertissait une jeune sublimissime japonaise aussi chaude que la lave du Mont Fuji à la position de la cravate mutante pianiste jouant un concert sous la pleine lune d’une planète n’en possédant pas, position très acrobatique, Thib entra horrifié dans la Taverne et hurla à pleins poumons à qui veut l’entendre que son arbre-pieuvre à dents de sabre laser-vorace vient de s’enfuir de son tout dernier laboratoire absolument pas sécurisé. Il y eut d’abord l’indifférence générale. Puis quand Jean, soigné, revint, la panique fut générale. Le barman littéralement écrasé par une foule faussement paniquée, fut le seul à rester à découvert. On vit alors une créature des plus étranges et chasseresse de surcroît, s’en prendre à la seule proie disponible : Jean. L’arbre-pieuvre usa de ses bras fouets pour torturer sa proie avant de l’étouffer avec ses racines et de l’empaler sur ses piques. Enfin, la créature décida de déguster sa victime. Gab, Dim, Vince et Thib, désireux de protéger Jean, l’entourèrent d’un bouclier Holtzman qui … explosa au contact des dents sabre laser. Le Tavernier, littéralement vaporisé, fut alors régénéré par l’arbre-pieuvre afin d’être quand même mangé. Thib étonné, avoua à une foule en délire qu’il ignorait que sa créature disposait de cette capacité.

Une fois digéré et déféqué, Jean fut soigné. Arrive alors un des instants les plus attendus : la commande de la bière par Vince. Vince était entouré du roi Arthur, de Charlemagne et des chefs Saxons. Dim les avait invité afin qu’ils signent un traité de paix et d’alliance. C’est alors que Jean, grâce à une pierre philosophale de bière, dissocia en deux parties la bière d’un tonneau qu’il venait juste d’apporter devant Vince. Une partie de la bière se transmuta en Irminsul, l’arbre sacré des Saxons. L’autre partie devint une Excalibur de bière que Jean planta dans une enclume, seul le roi des barmans pouvait la retirer. En s’emparant de l’épée, et devenant ainsi roi, Jean découpa l’Irminsul de bière avant de brûler les restes en rappelant aux Saxons que Charlemagne avait jadis ordonné de lui mettre le feu. Puis Jean, tout-puissant en cet instant, avisa un Vince incrédule. Il le défia, armé de son Excalibur de bière alors qu’avec sa pierre philosophale de bière, il transmutait tous les autres alcools en infusion de camomille. Plusieurs barmans et clones de Jean arrivèrent en se téléportant afin de protéger leur souverain de la fureur d’un Vince qui sentait monter en lui sa toute nouvelle inédite première colère de là tout de suite maintenant. Il appela à la foule présente à la révolution contre le tyran démoniaque, impur, hérétique, profanateur, antireligieux, impénitent, apostat, mécréant, sacrilège, blasphématoire et infidèle. Mieux, il appela à une révolution sainte et croisée. Le comptoir, transformé en forteresse qui tirait de l’eau avec ses canons sur les alcooliques de la Taverne, parvenait presque à retenir une foule toujours plus nombreuse et menée d’une main de maître par un Vince fou d’une rage rageusement rageuse. Une troupe de barmans, prit alors la foule à revers et déjà Jean se voyait victorieux. Mais ces derniers hurlèrent alors : « Vive la bière et les alcooliques » et se joignirent aux forces révolutionnaires croisées. Bientôt, les troupes de Jean furent annihilées et le barman se trouva face à face avec un Vince si démoniaque que sa bave s’écoulant sur le sol le faisait fondre. Jean attaqua le premier avec son Excalibur de bière. Vince, qui venait juste de faire trempette dans un Styx d’alcool pur, était encore plus invulnérable qu’un Achille fusionné à un Siegfried. Il s’empara de l’arme de Jean et dans sa fureur incontrôlée, le désanusa avec. Alors la raison revint un court moment, et Vince comprit que Jean venait de commettre un nouveau crime en allant jusqu’à le forcer à le désanuser avec une lame de bière. Toute l’abjection de cet être infect dégoûta Vince au plus haut point. Vince redonna vit Irminsul de bière et fusionna avec, devenant ainsi un Vince-Ent-Golem de bière. Il fusionna alors la pierre philosophale avec l’Excalibur de bière et là, la magie opéra. À chaque nouveau coup le corps de Jean était à la fois découpé et transmuté. Nous vîmes ainsi des morceaux de tavernier se transformer en de petits golems des quatre éléments qui s’affrontèrent âprement, le tout sous les bombardements dévastateurs d’un Vince désigné apôtre de la furie de l’année selon un collège d’experts présents dans la Taverne. Au final, Jean transmuté en bière, termina dans une choppe que Vince but d’une traite. Il urina ensuite le barman dans la piscine d’acide. Sa furie partiellement apaisée, il redonna à l’alcool sa véritable apparence afin d’en profiter pleinement.

C’est alors que Gollum, possédant toujours le livre de magie et se tenant à côté de la grand-mère liche et guenon du Singe hurla : « Que le Singe soit immobilisé », arracha son pagne et hurla derechef : « le Singeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee ». Mais voilà, le puant se trouva complètement idiot en constatant que le Singe était absent. C’est alors que la grand-mère du Singe retrouva sa véritable apparence et se transformant en super guenon Blue. Apparut alors le Singe, revenant du passé, en super singe Blue. Gollum, totalement encerclé, ne parvint pas à éviter un double kaméhaméha qui l’annihila purement et simplement. Si le Singe ne pouvait rien faire à propos du triste sort dont avait été victime sa sœur, il venait au moins de sauver sa grand-mère. Usant du livre de magie il demanda : « je veux que Gollum ne parvienne plus à violer moi ou un membre de ma famille sans que rien ne puisse l’empêcher ».

Arrive enfin l’heure du fantasme de Dim. Dim et Ai se trouvaient dans la galaxie de Pégase et plus précisément dans la cité d’Atlantis et pour être encore plus précis sur le fauteuil de contrôle de la cité des Anciens. Alors que nos deux amants commençaient déjà à se savourer mutuellement, le Malheureux Concours de Circonstance venait tout juste d’inaugurer une nouvelle piscine, normal de surcroît, dans la Taverne. Et Jean, en barman VIP, était le seul à pouvoir en profiter dans l’immédiat. Bronzant sur une petite embarcation gonflable, Jean en profita pour s’endormir. Dim, en expert qu’il était, mena sa favorite à l’extase suprême et lors du Grand Coup de Rein, Ai qui possédait le génome des Alterans, fit décoller la cité qui se dirigea alors vers la Taverne. Dim et Ai remirent le couvert. Alors qu’Atlantis apparaissait au-dessus de la nouvelle piscine, un deuxième Grand Coup de Rein actionna les tirs de drones sur Jean puis un troisième mena la cité à se poser sur les flots tout en écrasant les restes fumant de Jean alors que le Malheureux Concours de Circonstance transmutait l’eau en matières corrosives Jotuids.

Après cet interlude burlesque, Gab décida de s’amuser un peu au dépend du tavernier. S’inspirant du génie génialement génialissime de Dim, il inocula à Jean la Peste Buccale Aléatoire Sadique qui de suite entra en compétition avec la Peste Anale Aléatoire Sadique. Imaginez un peu, une bouche fermée et une langue brûlante ultra gonflée qui envoie vers l’anus des matières ultra corrosives alors que son anus fermé concentrant du gaz s’enflamma subitement. Nous vîmes passer une torche humaine s’étouffant et tombant en morceau. Le Gritche l’intercepta avec un arbre de la douleur, histoire de.

Alors nos glorieux héros se portèrent eux-mêmes en triomphe alors que les femmes nues se donnaient comme toujours en offrandes à leurs seigneurs et maîtres. Puis, après moult pratiques religieuses, nos plus que dieux s’en allèrent d’un pas serein, écrasant les restes de Jean avec des pointes cloutées, vers le Bordel.